Description
Added on the 02/04/2020 18:16:53 - Copyright : AFP EN
Rio de Janeiro, Apr 15 (EFE), (Camera: Janaína Quinet).- A hospital in Rio de Janeiro is using letters and messages from relatives to give hope to patients with covid-19.
Rivera, Uruguay, Mar 31 (EFE).- A resounding "no" is the reaction of food stand owner Paco when he sees reporters approaching, though he subsequently acknowledges that he, like most merchants in this town on the border with Brazil, has seen sales plummet by up to 90 percent amid the Covid-19 pandemic.(CAMERA: Federico Anfitti)
La Paz, Jan 30 (EFE).- (Camera: Yolanda Salazar) An exhibition in Bolivia is offering a close look back on the Covid-19 pandemic so far through the medium of contemporary art. FOOTAGE OF THE EXHIBITION.
Quito, Ecuador Jan 21 (EFE) (CAMERA: Juan Francisco Chávez).- The first person vaccinated in Ecuador against COVID-19, Jorge Luis Vélez, was hopeful that with the arrival of the first vaccines to the Andean country.
Nairobi (Kenya), Jan 16 (EFE / EPA) .- (Camera: Daniel Irungu) The Kenyan circus academy resumed their daily exercise routine after months of closure since the coronavirus pandemic started. The academy that depends on performances in Europe, especially Spain, has been forced to turn to local performances. With the launch of COVID-19 vaccinations across Europe during the second wave of the pandemic they hope to be able to go back to work.FOOTAGE OF THE MIGHTY JUMBO CIRCUS COMPANY.
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.