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Added on the 23/06/2020 14:00:00 - Copyright : EFE Inglés
Commuters wear masks in a subway station in New York as the US COVID-19 pandemic epicenter enters phase one of the state's plan to reopen economic activities. IMAGES
As New York City enters phase 3 of its reopening, people can return to nail salons like 'Lili and Cata' in Brooklyn.
New York (USA), Jun 22 (EFE / EPA) .- New York enters phase two of the de-escalation plan, in which 50 percent of the workers can return to their offices.(CAMERA: Alba Vigaray)
San Francisco, May 19 (EFE/EPA).- Retailers and businesses in San Francisco on Tuesday were allowed to partially open as part of California's Phase 2 plan to reopen amid the coronavirus pandemic. (Camera: JOHN MABANGLO)FOOTAGE SHOWS THE PARTIAL OPENING OF BUSINESSES IN SAN FRANCISCO AS PART OF PHASE 2 AMID THE CORONAVIRUS PANDEMIC.
Steven A Henry via Getty Images Scott Stringer, an early front-runner for New York City mayor, pledged to completely phase out fossil fuels, drive private utility companies out of the nation’s largest metropolis, and “electrify everything” in a near total embrace of climate activists’ demands ahead of this year’s election. The 34-page proposal Stringer laid out Sunday would transform the five boroughs, glazing the rooftops with solar panels and battery units, prioritizing bike lanes and pedestrian walkways over highways, and providing new programs to make electricity cheaper and green jobs more plentiful for the city’s squeezed working class.
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.