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Added on the 19/11/2020 11:19:32 - Copyright : France 24 EN
New Delhi, Apr 5 (EFE/EPA).- India recorded 103,558 cases of the coronavirus in the last 24 hours, crossing six digits for the first time since the onset of the pandemic as a second wave of infections grips the Asian country.These recent cases have taken the total number of infections to 12.5 million, making India the country with the third highest caseload in the world behind the United States and Brazil. (Camera: ARCHIVE).ARCHIVE FOOTAGE OF INDIAN HEALTH WORKERS COLLECTING COVID-19 SWAB SAMPLES FROM CITIZENS AND INDIAN AUTHORITY SPRAYING DISINFECTANT IN PUBLIC PLACES IN INDIA.
India's daily Covid-19 cases soared by 103,558 on Monday, the biggest such daily increase, data from the health ministry showed, taking the total to 12.59 million.
In response to the rising cases of COVID-19, the authorities are placing three more regions under tighter restrictions.
Tegucigalpa, Feb 11 (EFE), (camera: Uriel Gudiel) .- 11 months after the first two cases of COVID-19 infection in Honduras, the pandemic continues to rise, approaching 4,000 deaths and 160,000 infections.
Srinagar / Bangalore / Jammu (India), Jul 16 (EFE / EPA) .- Indian health authorities testing people from coronavirus at a frantic rate in the country, where there have been 970,000 infections and close to 25,000 deaths from COVID-19.(CAMERA: Farooq Khan / Jagadeesh NV / Jaipal Singh)
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.
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