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Added on the 21/02/2021 16:55:57 - Copyright : France 24 EN
Iran is demanding an end to crippling sanctions as talks with the United States resume to salvage the country’s nuclear deal. FRANCE 24’s Reza Sayah in Tehran reports that ordinary Iranians have felt the brunt of the US maximum pressure campaign enacted by former President Donald Trump.
Tehran, Feb 1 (EFE) .- (Camera: Artemis Razmipour) Iran affirmed on Monday that the United States cannot just go back to the 2015 nuclear agreement, but must first compensate for the damage caused by the previous administration and eliminate penalties.FOOTAGE OF A PRESS CONFERENCE.SOUNDBITES OF SAID JATIBZADEH, SPOKESMAN OF THE FOREIGN MINISTRY.Translation: "We have made it very clear that bilateral negotiations with the US are not necessary and we will not have them on this issue. The US must return to its commitments and for this it does not need any dialogue."Translation 2: "We are waiting for US action, that is, the effective lifting of sanctions."
This week, international sanctions are lifted on Iran, signalling new economic opportunities. But even before diplomats signed on the dotted line, firms had already been flocking to Tehran for business.
The talks in Austria's capital are aimed at bringing the United States back into the world powers' 2015 deal with Tehran on its nuclear programme.
2021-04-15 22:03 Iran nuclear deal, Vienna talks
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.