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Added on the 01/03/2021 16:36:34 - Copyright : AFP EN
Anastasia Vasilyeva, Alexei Navalny's personal doctor, is detained outside the penal colony where the Kremlin critic is being held after demanding access to see him. Navalny is on hunger strike demanding proper medical treatment. IMAGES
Navalny's health appears to be deteriorating during his time in a Russian penal colony.
Alexei Navalny's doctor Anastasia Vasilyeva arrives at a Pokrov prison where the Kremlin critic is detained and on hunger strike. Navalny, 44, announced the hunger strike last week, complaining a prison doctor had only given him painkillers as treatment for severe back pain and numbness in his legs. IMAGES
Jailed Kremlin critic Alexei Navalny on Wednesday said he is launching a hunger strike to demand proper medical treatment for severe back pain and numbness in his legs. President Vladimir Putin's most prominent critic, who is serving a 2.5-year sentence in one of Russia's most notorious penal colonies, said he was losing sensation in both legs.
Russia's foreign ministry on Tuesday rejected Western calls to free jailed Kremlin critic Alexei Navalny as divorced from reality and told the West not to meddle in its sovereign affairs.
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.