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Added on the 27/01/2021 11:54:38 - Copyright : France 24 EN
Using crutches, Palestinian Mohamed Aliwa leaps from one concrete slab to another, determined that his missing leg won't stop him doing parkour, a sport that brings respite from grim reality in Gaza.
More than a thousand Palestinian prisoners found freedom when Hamas released a single Israeli soldier, Gilad Shalit, at the end of 2011. Hundreds of them headed to Gaza, even though many had never lived there before. A few weeks after their return, our reporter found out what became of three of these former prisoners.
Moamen Abu Raida, a 29-year-old Palestinian technician, builds mobility vehicles for the sick and elderly from scraps he finds at the local market in Bani Suhaila, in the south of the Gaza Strip, which he sells for between 850-1000 shekels (200-300 US dollars).
Aliwa dreamed of becoming a parkour professional and decided that he would not let his disability hold him back from achieving it.
Since 2014, some 1.4 million refugees have arrived in Germany, a large number of them from Iraq and Syria. For many female refugees, building a new life for themselves means achieving independence. For some, leaving behind their homeland and its traditions also means leaving behind their marriage. The social system in Germany gives women in unhappy marriages the courage and the means to move on, as our correspondents report.
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.
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