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Added on the 25/08/2015 15:47:38 - Copyright : Reuters - Next Media
At least eight people were killed in India on Monday when a goods train driver missed a signal and slammed into an express passenger train from behind, police and railway officials said. Three passenger carriages were derailed and flipped on their side, while one carriage was thrust high into the air, precariously balanced on another. IMAGES
Victims' families and lawyers wait at the Marseille court for the start of the trial of the driver of the school bus that collided with a train in 2017 in Millas (Pyrénées-Orientales), killing six schoolchildren. IMAGES
French police arrives at the scene of a helicopter crash in which the passenger French billionaire Olivier Dassault was killed near Touques, near the upmarket coastal resort of Deauville in northern France. Olivier Dassault, a politician and scion of the Dassault aircraft-making family, was 69 years old. IMAGES
À San Francisco, Waymo propose un service de taxis autonomes accessible de tous les habitants. Et ce n’est pas le seul, d’autres marques développent aussi un système similaire comme Tesla ou encore Amazon avec ses Zoox. Ces concurrents d’Uber envoient des véhicules électriques sans personne à l’intérieur, avec un volant qui tourne tout seul. Le passager n’a qu’un écran de contrôle à l’arrière pour lui demander de s’arrêter ou de modifier son itinéraire. Reportage de notre journaliste Nicolas Lellouche.
Une vidéo montrant l’étrange crash d’une Ford Mustang Mach-e 100 % électrique, publiée sur TikTok le jeudi 14 août 2025, a rapidement suscité de nombreuses réactions. Comme toute vidéo virale, elle a fait le tour du monde, jusqu’à atteindre 775 000 vues sur le profil de celui qui a filmé et partagé la scène, sans oublier plus de 70 000 likes et 3 500 commentaires. La vidéo a également été largement repartagée et commentée avec de nombreuses désinformations à la clé. Les partages des images de cet accident ont fait mention de dysfonctionnements de la Ford Mustang Mach-E, ou de sa conduite autonome devenue incontrôlable. Les experts autoproclamés ont ainsi répandu la crainte… pour rien. Comme dans une vidéo récente concernant une BYD, le problème ne repose ni sur la conduite autonome, ni sur un problème de la voiture, mais bien sur l’humain installé derrière le volant. Les images du choc sont assez impressionnantes. Heureusement, les dégâts sont essentiellement matériels, mais les causes de l’accident interpellent. Pour rationaliser le comportement étrange du véhicule, plusieurs hypothèses ont rapidement été avancées : direction bloquée (la Ford Mustang Mach-E n’a pas de « steer by wire »), freinage « brake by wire » (sans lien physique) inopérant, conduite autonome défaillante... Pourtant, il y a quelque chose d’étrange dans la scène filmée par cet automobiliste, qui aurait dû interpeller les spectateurs. Quand le véhicule remonte à la hauteur de l’habitacle de la Ford, on aperçoit le conducteur, la main gauche levée au ciel comme en prière, l’autre serrant fermement le volant par le bas. Certains disent que le conducteur est paniqué, mais rien dans sa gestuelle (si ce n’est le fait de prier) ne le suggère. Face à l’ampleur que prenait la vidéo sur les réseaux sociaux, la police qui est intervenue sur l’accident a publié un communiqué : « Notre enquête a permis de déterminer que le véhicule ne fonctionnait pas en mode autonome et les agents de la CHP ont arrêté le conducteur, soupçonné de conduite sous influence. » L’enquête suit quand même son cours pour pousser les investigations, mais le conducteur n’était manifestement pas dans un état normal au moment de son arrestation. Ce qui pourrait en effet expliquer l’attitude étrange du conducteur dans la vidéo. Ford n’a pour l’heure pas pris la parole sur l’incident.
On entre dans la troisième année de la guerre en Ukraine, et s’il y a bien un drone de moyenne envergure qui a marqué ce conflit, c’est le Shahed-136. Et sa version russe, le Geran-2, puisque la Russie a tout simplement racheté la technologie iranienne pour en produire elle-même. C’est un drone assez imposant, 2,5 mètres d’envergure, chargé avec 40 à 50 kilos d’explosifs, conçu pour une seule mission : s’écraser sur sa cible. On l’a surtout vu au-dessus des villes ukrainiennes, car il est principalement utilisé pour des missions de démoralisation : c'est-à-dire, frapper la population civile et les infrastructures énergétiques, notamment en hiver, pour priver une ville d’électricité ou de chauffage. Un Shahed, en soi, ce n’est pas un drone discret. Il est relativement bruyant, il vole lentement, et il est souvent détecté avant d’atteindre sa cible. Le problème, c’est que la Russie ne les envoie jamais seuls. Généralement, c’est par vagues, des dizaines en une nuit, dispersés sur différents points d’une ville, en saturant la défense anti-aérienne et toucher des points sensibles, comme récemment, la centrale de Tchernobyl. De son côté, l’Ukraine a repris ces tactiques à sa manière, en développant ses propres drones longue portée. Certains peuvent aller très loin, jusqu’à 1000 km à l’intérieur du territoire russe. Parfois, ce sont des modèles assez sophistiqués, comme le Beaver – littéralement "le Castor" – un drone qui a déjà visé des bâtiments du renseignement russe. Mais l’Ukraine utilise aussi des modèles bien plus rudimentaires, qui ressemblent à de simples avions de tourisme autonomes. Sauf que malgré leur apparence basique, ces drones ont réussi à frapper des raffineries de pétrole situées à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière.