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Donald Trump a relancé le Guerre des Étoiles… et ça pourrait être un immense bluff ! Le 20 mai 2025, Trump annonce le Dôme d’Or : un bouclier anti-missile pensé pour protéger les États-Unis des attaques internationales. Comment fonctionnerait ce bouclier ? Et sa mise au point est-elle même réaliste ? On vous explique ! Donald Trump a relancé la guerre des étoiles avec son projet de bouclier antimissile, le "Dôme d'Or". Ce projet vise à rendre les États-Unis invulnérables aux attaques, mais sa faisabilité technique et son coût suscitent des interrogations. Est-ce un immense bluff ou une véritable modernisation militaire ?
L’un des aspects les plus impressionnants dans le monde de la tech, c’est la remontada de Huawei. Huawei, c’était le numéro un chinois du smartphone, et ils n’étaient pas loin de devenir numéro un en France… jusqu’à ce que Donald Trump leur inflige un coup dur : mise sur liste noire, interdiction aux États-Unis, rupture des partenariats avec Qualcomm et Google… Malgré tout, plusieurs années plus tard, Huawei est toujours là, avec un téléphone pliant ultra-fin et un appareil photo surpuissant. Leur prise en main est spectaculaire. Côté écosystème, ils gagnent en indépendance avec leurs propres applications, leur propre OS – certes dérivé d’Android, mais qui leur permet de se détacher progressivement. Ils développent même un écosystème complet d’appareils, incluant des voitures. Et le plus fou ? Aujourd’hui, Huawei fabrique des puces capables de rivaliser avec celles des Américains, alors que personne ne pensait la Chine capable d’y parvenir si vite. L’histoire de Huawei prouve que les États-Unis ont peut-être fait une erreur en tentant d’éliminer cette entreprise. Au lieu de disparaître, Huawei est devenu encore plus puissant. Au MWC de Barcelone, leur stand est le plus grand, ils sont présents dans tous les secteurs : éducation, santé, et bien sûr, smartphones. Leur comeback est indéniable : en Chine, ils sont redevenus numéro un des ventes.
On entre dans la troisième année de la guerre en Ukraine, et s’il y a bien un drone de moyenne envergure qui a marqué ce conflit, c’est le Shahed-136. Et sa version russe, le Geran-2, puisque la Russie a tout simplement racheté la technologie iranienne pour en produire elle-même. C’est un drone assez imposant, 2,5 mètres d’envergure, chargé avec 40 à 50 kilos d’explosifs, conçu pour une seule mission : s’écraser sur sa cible. On l’a surtout vu au-dessus des villes ukrainiennes, car il est principalement utilisé pour des missions de démoralisation : c'est-à-dire, frapper la population civile et les infrastructures énergétiques, notamment en hiver, pour priver une ville d’électricité ou de chauffage. Un Shahed, en soi, ce n’est pas un drone discret. Il est relativement bruyant, il vole lentement, et il est souvent détecté avant d’atteindre sa cible. Le problème, c’est que la Russie ne les envoie jamais seuls. Généralement, c’est par vagues, des dizaines en une nuit, dispersés sur différents points d’une ville, en saturant la défense anti-aérienne et toucher des points sensibles, comme récemment, la centrale de Tchernobyl. De son côté, l’Ukraine a repris ces tactiques à sa manière, en développant ses propres drones longue portée. Certains peuvent aller très loin, jusqu’à 1000 km à l’intérieur du territoire russe. Parfois, ce sont des modèles assez sophistiqués, comme le Beaver – littéralement "le Castor" – un drone qui a déjà visé des bâtiments du renseignement russe. Mais l’Ukraine utilise aussi des modèles bien plus rudimentaires, qui ressemblent à de simples avions de tourisme autonomes. Sauf que malgré leur apparence basique, ces drones ont réussi à frapper des raffineries de pétrole situées à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière.
L’accessoire indispensable du soldat en Ukraine aujourd’hui, c’est le mini-drone. Que ce soit du côté ukrainien ou russe, ces engins sont désormais produits par millions chaque année, et rien que sur le front, plus d’une centaine de drones tombent chaque jour. On parle ici de modèles bon marché, fabriqués à partir de composants chinois, et utilisés pour tout un tas de missions : Reconnaissance, pour inspecter une zone. Renseignement, pour récupérer des données et guider l’artillerie. Attaque, soit en larguant des explosifs, soit en mode suicide, une méthode qui s’est largement imposée depuis 2023 grâce aux évolutions technologiques. Certains crachent même du feu, oui oui : sur ces images, on voit des drones avec munitions dites thermites, fortement incendiaires, qui atteignent les 2500 degrés pour aller nettoyer une tranchée on va dire. Et parmi ces évolutions, il y en a une qui a tout changé : le pilotage en vue subjective, ou FPV. Avec un simple masque, le pilote voit exactement ce que voit son drone, ce qui permet des attaques ultra-précises, notamment sur des points faibles comme la tourelle des chars russes, connue pour être leur talon d’Achille. Les drones FPV sont devenus une arme de référence dans le conflit… jusqu’à récemment. Parce qu’encore une fois, une nouvelle technologie est en train de changer la donne : la fibre optique. Alors, pourquoi la fibre optique ? En gros, elle utilise des fils ultra-fins en verre ou en plastique pour faire circuler l’information à la vitesse de la lumière. Résultat : une connexion hyper rapide, ultra stable et impossible à brouiller. Et sur le champ de bataille, c’est un énorme avantage. Le plus surprenant, c’est que ce câble peut être déroulé sur plusieurs kilomètres et qu’il est assez résistant pour ne pas se couper au moindre obstacle. Ça permet de piloter un drone armé sans aucun risque de brouillage. Sauf que… certains soldats ukrainiens ont déjà trouvé une parade : il leur suffit de suivre le fil pour remonter directement jusqu’à la base russe. Mais attention, dans le ciel, il n’y a pas que des petits drones du commerce. Il y a aussi des dizaines de modèles militaires conçus spécialement pour la guerre. Côté russe, on retrouve par exemple les Orlan, des drones de surveillance, ou encore les Lancet, des drones kamikazes très présents sur le front. Côté ukrainien, les États-Unis fournissent des Switchblade, des drones suicides miniatures qui frappent à très courte portée.