Description
Added on the 20/10/2020 07:23:57 - Copyright : Auto Moto EN
Il y a de ces modèles qui façonnent l’histoire d’un constructeur automobile. Chez Renault, ils sont nombreux, mais un en particulier a marqué son époque : la R5 Turbo de 1980. Cette version extrême de la très sage Renault 5 se dotait d’un turbocompresseur pour gonfler sa puissance à 160 ch, offrant des performances sensationnelle à l’époque. Un peu plus de 40 ans plus tard, en 2022, Renault présentait le concept délirant R5 Turbo 3E qu’on aurait cru tout droit sorti d’un jeu-vidéo. Depuis, le patron du groupe Luca De Meo avait en tête d’en faire un vrai modèle de série homologué pour la route. Complètement fou n’est-il pas ? Eh bien Renault va vraiment le faire ! Le PDG lui-même l’avait officialisé à la fin du documentaire sur le come-back de Renault. À l’image de son aïeule et sa technologie turbo en plein essor, la R5 Turbo 3E entend bien révolutionner la propulsion électrique. Nous avons pu découvrir la maquette de cette « mini-supercar » en avant-première à l’usine historique de Flins, dans les Yvelines (78). Renault annonce que le modèle de série lui sera fidèle à 95 %, comme l’a été la R5 E-Tech. Après nous avoir proposé un voyage dans le temps avec les modèles originels accompagnés de leurs versions de course puis le concept de 2022, Renault nous a conduits dans la salle finale où, derrière une fine brume, se cachait la Turbo électrique. Je suis resté tout simplement bouche bée face à ce monstre vêtu de jaune et de blanc, une livrée hommage à la R5 Turbo Tour de Corse (on y reviendra). Quelle gueule ! La sportive en impose et ses dimensions étonnantes le prouvent puisque la Turbo 3E mesure 2,03 m de large. C’est 22 cm de plus qu’une R5 normale. En longueur, la sportive gagne presque 16 cm. Démentiel. La face avant est encore plus néo-rétro que la version de base et reprend le museau carré du modèle originel, que ce soit au niveau du capot ou des projecteurs. Le bouclier proéminent est massif et fait un clin d’œil au passé avec ses trois ouïes sous le logo vintage. Tout a été pensé pour l’optimisation des flux d’air, à la fois pour l’appui aérodynamique, mais aussi pour le refroidissement des éléments de la voiture. Le milieu du capot accueille, par exemple, un énorme extracteur d’air, tandis que les ailes élargies à l’avant laissent s’échapper le flux en provenance des roues. Celui-ci s’écoule le long de la carrosserie et vient s’engouffrer dans les deux prises d’air de part et d’autre de la caisse, comme à l’époque. Ma partie préférée est sans aucun doute l’arrière, où le look bodybuildé de la Turbo 3E prend tout son sens. La voiture parait encore plus large avec des hanches carrées et un diffuseur rallongé. Le hayon gagne une arête noire frappée d’une inscription Renault en relief et du fameux « 5 ». Certains seraient tentés de dire que la Renault Turbo 3E n’est qu’une « simple » R5 sous stéroïdes. C’est bien plus complexe que ça. La Turbo est au final presque une voiture totalement différente. En effet, seulement quatre pièces sont communes avec la R5 E-Tech : les rétroviseurs, les poignées de portes quand il y en aura, le pare-brise (légèrement reculé) et bien sûr les feux arrière. La Turbo 3E repose sur un châssis en aluminium conçu spécialement pour elle par les ingénieurs d’Alpine et la carrosserie est en fibre de carbone. Pour Renault, « le but était de mettre au point un véhicule le plus léger possible, afin qu’il soit le plus agile et le plus performant possible ». Car oui, la R5 Turbo électrique affiche une fiche technique exceptionnelle digne d’une supercar : 540 ch (2 x 200 kW) et 4 800 Nm de couple 0 à 100 km/h : moins de 3,5 secondes 0 à 200 km/h : moins de 9 secondes 1 450 kg Vitesse max : 270 km/h a Turbo 3E est une pure propulsion, équipée de deux moteurs… dans les roues arrière ! Une première mondiale. Cette technologie permet de se passer de cardans entre les moteurs et les roues, offrant une meilleure restitution de la puissance. Les roues de 20 pouces chausse des gommes sport de 245 mm de large à l’avant, tandis que l’arrière grimpe à 275 mm pour faire passer la cavalerie au sol. En plus des caractéristiques d’une supercar, la Renault 5 Turbo 3E adopte des technologies électriques de pointe. La citadine ultra-sportive est le premier modèle du constructeur à posséder une architecture 800 V. Résultat, la recharge de 15 à 80 % se fait en seulement 15 minutes à une puissance maximale de 350 kW sur borne rapide. Idéal pour faire le plein entre deux sessions sur circuit. L’alimentation est assurée par une inédite batterie NMC (nickel-manganèse-cobalt) de 70 kWh. Conçue pour la piste, elle gère mieux sa température afin de pouvoir enchaîner les tours sans surchauffe. En utilisation normale, Renault promet plus de 400 km d’autonomie en cycle WLTP.
On a pu conduire le CYBERTRUCK pendant une virée en Californie ! Mais alors, c'est bien ou pas ? La première impression ressentie en présence du Cybertruck le confirme, l’engin est assez massif. Pourtant, il y a plus gros sur la route, y compris des modèles importés jusqu’en Europe comme le Hummer EV. Néanmoins, le design angulaire et la carrosserie en acier inoxydable jouent sur la perception de son gabarit. Le regard est forcément attiré par les arêtes assez saillantes de ses différents panneaux. Il n’était pas question de tester si le modèle présenté pouvait faire épluche-légumes, comme le montrent de nombreuses vidéos sur le net. Malgré tout, la conception du modèle interroge notamment en cas d’accident. Quant à savoir si Tesla vise à le faire homologuer en Europe, il n’y aura aucune réponse officielle à la question pour l’heure. Ce n’est pas la priorité du constructeur, qui se concentre déjà pour livrer les nombreux clients américains. Comment parler d’une rencontre avec le Tesla Cybertruck sans aborder son essuie-glace unique spectaculaire ? Il a beaucoup été moqué, mais il faut bien l’avouer, l’appendice est particulièrement disgracieux sur le parebrise du Cybertruck. L’essuie-glace est plus long que mes propres jambes, c’est quand même vraiment surprenant sur un véhicule de ce genre. Le coffre avant (frunk) est assez pratique pour servir de banc. Toutefois, pour y stocker des objets, c’est moins certain. La benne à l’arrière est elle assez impressionnante. En plus, son volet électrique est tout de même plutôt cool à utiliser, en espérant que ce ne soit pas une pièce qui tombe trop rapidement en panne. L’ouverture des portières par le bouton est un peu déroutante, mais finalement cela ne fonctionne pas si mal. Cela dit, elle n’ouvre la portière que de quelques centimètres, il faut ensuite manœuvrer les imposantes portes en empoignant la carrosserie acier. Tesla n’est pas le seul à opter pour ce genre d’ouverture, mais il reste difficile d’y voir un réel intérêt. Le challenge est ensuite de ne pas trop laisser de traces de mains sur la carrosserie, autant dire que ce n’est pas gagné d’avance. Un élément à l’intérieur interpelle aussi beaucoup : la planche de bord interminable. Il est clairement déconseillé de laisser quoique ce soit sur le tableau de bord, sous peine de ramer pour aller le récupérer tout au bout à la jonction avec le parebrise. Cet espace est globalement inexploitable au quotidien, c’est de la place perdue. C’était néanmoins incontournable pour le modèle, car le parebrise est fortement incliné. De ce fait, le conducteur est particulièrement reculé dans l’habitacle. Quant au reste de son intérieur, le Tesla Cybertruck semble quand même particulièrement proche du reste de la gamme. Exception faite du volant encore différent de la nouvelle Model 3, de la Model S (volant Yoke) ou du volant traditionnel de Model Y. L’écran central est grand et équipé de la dernière mouture du logiciel, qui arrive sur les autres modèles. Il vaut mieux être en bonne forme physique pour grimper à bord du Cybertruck. Comme tous les pickups du genre, l’assise est très haute, mais Tesla n’a pas intégré de poignées pour faciliter la montée et descente du véhicule. Avec un jeans un peu trop serré, j’ai franchement peiné à m’installer sur le siège conducteur avec élégance. Pour le reste, le Cybertruck surprend par la luminosité à son bord. Les surfaces vitrées, même taillées à la serpe, sont assez agréables et l’espace à bord fait le reste pour apporter tout le confort nécessaire à tous les occupants. Chacun classera l’engin dans la catégorie qu’il souhaite. Le Tesla Cybertruck ne m’emballe pas réellement, avec son design anguleux et son manque de praticité. Je lui préfère le Ford F-150 Lightning, mais je comprends l’intérêt qu’il peut provoquer. C’est en tout cas un modèle à découvrir en vrai pour se faire une opinion. Il est intéressant de noter que l’exemplaire choisi pour faire la tournée française ne souffre pas de défauts de carrosserie, comme on a pu l’observer sur d’autres modèles livrés à des clients.
La « Recherche visuelle » de l'iPhone est donc capable de reconnaître les symboles liés aux instructions de lavage, ce qui peut vous retirer une petite charge mentale aux moments de mettre des vêtements dans votre machine. Pour en profiter, c'est très simple : -Ouvrir l'application Photos et prendre une photo de l'étiquette (attention, il faut zoomer sur les symboles, s'ils apparaissent trop loin, « Recherche visuelle » ne fonctionnera pas) ; - Ouvrir la photo via le le raccourci qui apparaît en bas à gauche (qui ouvrira la dernière photo prise) ; - Attendre que le petit symbole avec un i entouré devienne une machine à laver auréolée d'étoiles ; - Appuyer sur le logo en forme de machine à laver puis sur « Chercher les Instructions de lavage » ; - Lire les instructions de lavage, décodées grâce aux « connaissances Siri ». On a essayé avec un pull et avec un sweat, sachant que cette fonctionnalité marche aussi avec les instructions inscrites directement sur le textile, tant que l'iPhone est capable de les reconnaître. Associée à une machine laver intelligente (qui sait doser la lessive pour vous, par exemple), cette astuce peut vous aider à transformer cette tâche pénible en simple formalité.
Lors de la WWDC 2024, Apple a présenté son dernier système d'exploitation : l'iOS 18. Beaucoup de fonctionnalités sont à prévoir comme l'IA avec Apple Intelligence ainsi qu'une plus grand personnalisation de l'interface de l'iPhone. Mais quels téléphones pourront bénéficier de cette importante mise à jour ? Déjà, bonne nouvelle, tous les téléphones sous iOS 17 auront l'iOS 18. Cela comprend donc tous les iPhone depuis l'iPhone XR et XS. Si c'est votre cas, alors la mise à jour sera faite en septembre. Il est aussi possible d'accéder dès maintenant à l'iOS 18 grâce à des bêtas disponibles. Mais on ne recommande pas spécialement de l'installer car il y a encore beaucoup de bugs et les fonctions les plus intéressantes ne sont pas encore disponibles. Malheureusement, petit bémol, Apple Intelligence ne sera réservé qu'aux possesseurs d'iPhone 15 Pro et 15 Pro Max.
NASA's latest rover Perseverance launches for Mars, blasting off from Cape Canaveral, Florida on a United Launch Alliance Atlas V rocket on schedule. IMAGES
Daredevil French inventor Franky Zapata blasts off from Sangatte on the French coast at the start of his attempt to hover across the Channel standing on a jet-powered "flyboard". The ambitious crossing comes 110 years to the day after pioneer Louis Bleriot made the first airplane flight across the Channel on July 25, 1909. IMAGES