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Added on the 21/10/2020 17:09:44 - Copyright : Euronews EN
Pope Francis officially declared support for civil unions for same-sex couples for the first time. The Pope made the groundbreaking remarks in a documentary film that was released on Wednesday. Pope Francis said: "Homosexual people have a right to be in a family. Nobody should be thrown out or be made miserable over it". He went on to say: "What we have to create is a civil union law. That way they are legally covered". The Pope has suggested in the past that he is not against civil unions, but this is the first time he has directly come out in favor of them. The documentary, "Francesco" was released Wednesday in Rome.
People react on Saint Peter's Square after Pope Francis voiced support for same-sex couples, calling them "children of God" and saying they should be allowed to have legally recognised civil unions, in a radical shift from the positions of previous pontiffs.
Barbarin appeals conviction in Catholic Church sex abuse case
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.