Description
Added on the 12/04/2016 17:58:12 - Copyright : Viral Video Online
C'est un téléphone pour animaux de compagnie. Oui, c'est super bizarre, mais regardez-moi ça ! Le concept est simple : un petit boîtier s'accroche au collier d’un chien ou d’un chat et permet, à tout moment, de l’appeler depuis une application. Si vous êtes au travail et que vous voulez le rassurer, vous pouvez lui envoyer un message avec votre voix. L’une des particularités amusantes de ce produit, c'est que si l’animal bouge, cela peut automatiquement déclencher un appel sur votre téléphone ou vous envoyer une notification. Par exemple, si un chien commence à stresser, l’appareil peut détecter son agitation et déclencher un appel vers son propriétaire. Vous recevez alors l’appel et pouvez discuter avec lui. Comme ça, c’est vrai que ça ressemble à un gadget. Mais quand on a un jeune animal à la maison, on s’inquiète souvent pour lui et on aimerait savoir dans quel état on va le retrouver en rentrant le soir. Grâce à ce dispositif, on peut se rassurer un peu et même lui apprendre à interagir avec nous. Bon, il y a aussi de grandes chances que l’animal n’en ait rien à faire et qu’il ignore complètement le son, mais ça reste une innovation amusante. Imaginez un jour où chaque chien ou chat aurait son propre téléphone !
Une toile d'araignées de 106 m2 et peuplée de plus de 111 000 arachnides a été découverte dans une grotte à la frontière entre la Grèce et l'Albanie ! ️
Des lapins avec des cornes ? Non, ce ne sont pas des lapins zombies, mais des animaux touchés par un virus, le rabbit-chop papillomavirus. Ces excroissances impressionnantes, qui ressemblent à des cornes, sont en réalité des verrues qui disparaissent une fois que le système immunitaire du lapin a fait son travail...
Vous avez un lapin, une poule ou un cochon d’Inde en bonne santé que vous ne voulez plus ? Un zoo au Danemark vous propose de le récupérer pour nourrir ses prédateurs. Le zoo d’Aalborg accepte les dons d’animaux vivants – même des chevaux – pour nourrir lions, tigres ou lynx. Les petits animaux sont ensuite euthanasiés « en douceur » par du personnel formé. Selon le zoo, ces animaux font partie du régime naturel des carnivores, avec os, poils et tout le reste. Ils disent vouloir reproduire la chaîne alimentaire, comme dans la nature. Sur son site internet, sous une photo d’un tigre dévorant un morceau de viande, le zoo d’Aalborg détaille les conditions pour faire don d’un cheval. Pour être éligibles, les chevaux doivent posséder un passeport équin et ne pas avoir été traités pour une maladie au cours des 30 derniers jours. Et en bonus, vous pourriez obtenir une déduction fiscale. Banco. C’est une pratique assez courante au Danemark. Le zoo précise qu’il le fait depuis des années, et que certains visiteurs trouvent ça appréciable de pouvoir contribuer aux repas des prédateurs du zoo. Évidemment, ce procédé soulève un débat : est-ce une manière écologique de nourrir les animaux ou juste une pratique dérangeante et immorale
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Deux études, américaine et japonaise, ont découvert pourquoi certains chats sont de couleur orange. Ces études, pas encore revues par des pairs et mises en ligne à la fin du mois de novembre 2024, arrivent à la même conclusion qui implique la surexpression d’un gène. Boules de poils à la teinte de feu, chaotiques, mais affectueux, le mystère de la teinte des chats roux vient d’être percé. Sans se concerter, deux équipes de chercheurs, l’une américaine supervisée par Gregory Barsh de l’Université de Standford et l’autre japonaise, supervisée par Hiroyuki Sasaki de l’Université Kyushu, sont arrivées à la même conclusion concernant l’explication de la couleur orange de certains chats. Les études, non revues par les pairs pour le moment, ont été mises en ligne à la fin du mois de novembre 2024 sur le serveur bioRXiv. Un gène surexprimé chez les chats roux Les études démontrent que dans les cellules de peau (appelées mélanocytes) d’où poussent des poils orange, il y a une expression trop importante du gène Arghgap36. Les chercheurs ont d’abord émis l’hypothèse d’une mutation dans la section codante de l’ADN (la partie qui aboutira à la formation d’une protéine). Cependant, ils ont finalement réalisé qu’il manquait simplement une petite partie d’ADN non-codant (qui n’a donc pas de rôle dans la formation de la protéine finale). Cette partie manquante jouerait, par contre, un rôle dans la régulation de l’expression du gène Arhgap36. Hiroyuki Sasaki explique dans son étude : « La région supprimée contient un élément régulateur putatif hautement conservé, dont la suppression provoque probablement une altération de l’expression d’ARHGAP36 ». Dans la revue Science, Gregory Barsh, auteur de l’étude américaine de l’Université de Standford, explique en parlant du gène Arhgap36 : « Il est impliqué dans de nombreux aspects du développement embryonnaire et des mutations majeures affectant sa fonction dans tout le corps tueraient probablement l’animal. Il semble que chez les chats, cela est présent juste dans les mélanocytes ». L’implication du chromosome X Ce gène, responsable de la couleur rousse des chats, se localise sur le chromosome X. Chez les mâles, il sera donc forcément exprimé dans toutes les cellules, puisqu’il est seul. C’est ce qui explique que les mâles sont entièrement roux. En revanche, puisque les femelles possèdent 2 chromosomes X dans chaque cellule, il y en a toujours un des deux qui est inactivé. Les gènes situés sur ce chromosome X inactivé ne seront donc pas exprimés dans cette cellule. Et c’est pourquoi les femelles ont le plus souvent un pelage plutôt en patchwork, mélangeant le roux et le brun ou le noir. Ces recherches permettent de mieux comprendre des phénomènes génétiques, et de saisir la complexité des interactions entre les gènes pour améliorer les recherches à venir. Leslie Lyons, généticienne féline à l’Université du Missouri, déclare au magazine Science : « Les recherches sur la couleur des chats ont révélé toutes sortes de phénomènes, y compris la façon dont l’environnement influence l’expression des gènes. Tout ce que vous devez savoir sur la génétique, vous pouvez l’apprendre de votre chat. » Une belle conclusion qui nous confirme donc que nous, humains, avons tout à apprendre de nos souverains, les chats.