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Divers and volunteers help to save humpback whale off Peru's coast

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Added on the 01/08/2019 19:46:41 - Copyright : Euronews EN

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    Il ou elle ne saura probablement jamais que c’est son mot de passe qui a ouvert la porte aux cybercriminels. La direction de KNP a fait ce choix : préserver l’employé concerné du poids psychologique d’une telle responsabilité. Dans un documentaire diffusé sur la BBC le 21 juillet 2025, Paul Abbott, directeur de KNP raconte cette histoire incroyable : un seul mot de passe, malheureusement trop faible, a suffi pour faire tomber cette entreprise vieille de plus d’un siècle et demi. L’identité de l’employé dont le mot de passe a été compromis n’a jamais été révélée, ni en interne, ni publiquement. « Vous voudriez savoir si c’était vous ? » interroge l’ex-patron. Depuis sa fondation en 1865, KNP Logistics, s’était imposée, à travers sa filiale Knights of Old, comme un acteur majeur du transport en Grande-Bretagne. Véritable pilier économique du Northamptonshire, au cœur de l’Angleterre, cette entreprise exploitait un parc de plus de 500 camions, reliant villes et régions à travers tout le pays. Une succes-story made in UK qui a vu son destin basculer brutalement en 2023, lorsqu’une attaque par ransomware paralyse son infrastructure informatique. En quelques mois, la société doit déposer le bilan, laissant 700 employés sans travail. « Si vous lisez ceci, cela signifie que l’infrastructure interne de votre entreprise est totalement ou partiellement morte… Gardons nos larmes et notre ressentiment pour nous et essayons d’engager un dialogue constructif. » Voici la note des hackers laissée à la direction de KNP. Appartenant au groupe cybercriminal Akira, les corbeaux virtuels paralysent l’ensemble des opérations de l’entreprise. Un ransomware s’empare des ordinateurs, chiffre les fichiers et paralyse jusqu’au moindre service logistique. L’activité est stoppée net et ne reprendra que si la direction met la main au portefeuille. KNP, n’a ni les moyens ni la certitude que payer ouvrirait réellement la voie au retour à la normale. Aucune somme précise n’est réclamée par les cybercriminels, mais d’après un cabinet spécialisé cité par la BBC, le montant aurait pu atteindre cinq millions de livres sterling. L’entreprise tente de se défendre et de restaurer ses systèmes, en vain. Le chrono tourne et la situation empire. KNP ne peut plus servir ses clients, ses partenaires perdent confiance et la trésorerie s’effondre. Le 25 septembre 2023, après trois mois de paralysie et de tentatives de sauvetage, la société doit se résoudre à déposer le bilan. KNP n’est pas un cas isolé. Selon les chiffres du National Cyber Security Centre (NCSC), des milliers d’entreprises britanniques sont ciblées chaque année par ce type d’attaque et il n’a jamais été aussi facile de lancer une attaque. Certains ransomwares sont accessibles à la location et les premières failles sont presque toujours humaines. Comment enrayer le phénomène ? Peut-être en rendant le business du ransomware moins lucratif. Dernièrement, le gouvernement britannique réfléchit à interdire le paiement des rançons et à rendre la déclaration d’attaque obligatoire dans le but de casser le modèle économique des cybercriminels.

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    La représentation par IA d’un homme tué par balles a été autorisée à s’exprimer à l’audience de son tueur. Une première aux États-Unis. C’est une première aux États-Unis qui risque de faire des émules. Christopher Pelkey a été tué par Gabriel Paul Horcasitas en 2021 après une altercation sur la route, crime qui porte outre-Atlantique le nom de « road rage ». Et pourtant, Pelkey est apparu le jour de l’audience de son assassin pour lui adresser un message en vidéo, comme le rapporte la presse locale. La génération par IA basée sur les traits et la voix de l’homme décédé a été autorisée à s’exprimer dans un tribunal. « À Gabriel Horcasitas, l’homme qui m’a tiré dessus – c’est dommage que nous nous soyons rencontrés ce jour-là dans ces circonstances. Dans une autre vie, nous aurions probablement pu être amis », lance l’avatar de Pelkey à son tueur en pleine audience, avant d’embrayer sur le fait qu’il croit profondément au pardon. Une intervention qui a touché le juge Todd Lang, qui a déclamé après avoir vu la vidéo : « J’adore cette IA. Merci. J’ai trouvé que c’était authentique, que le pardon accordé à monsieur Horcasitas reflète parfaitement le personnage de Pelkey dont j’ai entendu parler aujourd’hui ». Derrière ce projet, on trouve la sœur de Pelkey, qui souhaitait apporter une autre dimension au procès du meurtrier de son frère, afin d’apporter une pierre au processus de guérison. « En avoir fait une œuvre de guérison pour quiconque l’a vue n’était qu’un résultat bénéfique », a-t-elle déclaré, estimant que l’intervention de son défunt frère et les mots choisis pour le faire parler, ont participé à apaiser la famille endeuillée. Techniquement, la génération vidéo et voix est très accessible en 2025, avec des services proposant la création d’avatars numériques à partir d’images et d’extraits vocaux. Reste que faire intervenir un mort à un procès n’est pas anodin. Ann A. Scott Timmer, responsable de la Cour Suprême de l’Arizona, a estimé que l’IA avait un grand potentiel pour aider celles et ceux qui n’ont pas de connaissance dans le système juridique américain, notamment à mieux se défendre. Mais, a-t-elle ajouté, « l’IA peut aussi entraver, voire bouleverser la justice si elle est utilisée de façon inappropriée. Une approche mesurée est préférable. Dans cette optique, le tribunal a formé un comité sur l’IA pour examiner l’utilisation de l’IA et formuler des recommandations sur la meilleure façon de l’utiliser. Au fond, ceux qui utilisent l’IA — y compris les tribunaux — sont responsables de son exactitude ». On imagine bien les dangers auxquels Timmer fait référence : une telle intervention d’un défunt, bien menée, pourrait tout à la fois toucher plus profondément le juge et les jurés. Mais elle pourrait aussi altérer la réalité de ce qui s’est vraiment passé : en plus des preuves et des témoignages, on a eu dans ce tribunal de l’Arizona, une génération d’image déclamant un texte que la victime n’a jamais écrit — un deepfake, en somme. Sa sœur, avec toute sa bonne volonté, n’a fait que lui prêter des propos qui n’auraient, peut-être, pas été ceux de Pelkey. Une nuance qui permet de comprendre pourquoi la Cour Suprême de l’Arizona est sur ses gardes.

    08/05/2025 - Numerama

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DemainEntreprendre - épisode 12

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