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Added on the 21/11/2020 20:56:54 - Copyright : AFPTV - First images
Dozens of cars line up at the Hard Rock Stadium Covid-19 testing site in Miami, Florida, as the rise in cases continues across the United States. IMAGES
Dozens of cars line up at a COVID-19 drive-through test site in Miami as coronavirus cases surge in the southern US state of Florida. IMAGES
Cars line up at a Covid-19 drive-through testing site in Miami, Florida, after millions of Americans traveled over the Thanksgiving holiday weekend, despite a surge of coronavirus infections in the world's worst-affected country. IMAGES
Residents line up in their cars to get tested for COVID-19 at Dodger Stadium in Los Angeles as the epidemic is once more blowing up at an exponential rate in the United States. IMAGES
Dozens of cars wait outside a COVID-19 testing site in Houston, Texas, as outbreaks flare in southern hotspots Texas and Florida. With the world-topping US toll surging past 125,000 deaths, and many of the 50 states experiencing alarming rises in new cases, governors have been forced to reimpose lockdowns on businesses like restaurants and bars. IMAGES
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.