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Added on the 21/01/2021 12:28:54 - Copyright : France 24 EN
Nearly 16,000 new cases of COVID-19 were recorded in the last 24 hours, according to data published on Sunday by French health authorities.
Almost two months after French government lift the coronavirus lockdown measures in mainland France, French Guyana has seen an alarming spike of Covid-19 cases and measures such as curfews were put back in place. The territory shares kilometres of borders with Brazil, the hardest-stricken country in Latin America. Meanwhile, the situation is “under control” in mainland France, the government says even though 200 clusters were identified.
Nurses and healthcare workers gather in front of the Moses campus at the Montefiore Medical Center to protest at their working conditions and the lack of Personal Protective Equipment as the Covid-19 crisis worsens in New York City.
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.