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Added on the 12/10/2022 10:00:23 - Copyright : Euronews EN
Members of the Russian Investigative Committee work at the site of an explosion on Crimean bridge. Russia says two drones hit the bridge in the early hours of Monday and blames "the Kyiv regime." It is the second attack on the bridge, a personal project of President Vladimir Putin, during the Kremlin's 18-month long Ukraine offensive. IMAGES
Rescue workers are clearing rubble at the Amstor shopping centre in the central Ukrainian city of Kremenchuk, after a Russian missile strike left 16 people killed and 59 wounded, according to Ukraine's emergency services. The Russian military claims it struck a weapons depot nearby and the resulting explosions hit the shopping mall, while Group of Seven leaders have branded the attack as "a war crime". IMAGES
Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! Sur cet extrait non daté, qui tourne sur les réseaux sociaux depuis au moins le 12 novembre 2025, on voit l'interception d'un drone par un hélicoptère armé d'une mitrailleuse. L'hélicoptère est identifié comme un modèle Mil Mil-8 de l'armée de l'air ukrainienne. Le drone, lui, est associé aux forces russes et a été catégorisé dans la classe Shahed. L’emploi d’une mitrailleuse est considéré comme l’une des options les plus économiques pour détruire ces aéronefs sans pilote, en évitant d’avoir à tirer un missile à plusieurs dizaines ou milliers de dollars.
Selon les agences de presse russe, l’autocrate syrien Bachar al-Assad serait arrivé en Russie après la chute de son régime. Plusieurs avions ont été localisés dans le ciel syrien, avec des trajets suspects, qui ont fait émerger de nombreuses théories. Où est Bachar al-Assad ? Selon les premières déclarations du côté russe, le dictateur syrien déchu après la chute de Damas, serait arrivé à Moscou, accompagné de sa famille. La Russie aurait offert l’asile au président déchu pour des « raisons humanitaires », à en croire la presse d’État. Toutefois, aucune image de ses premiers pas à Moscou n’a été diffusée. Une rumeur faisant état d’un crash d’avion a même émergé après un suivi aérien suspect. Tout part d’un avion cargo Ilyushin Il-76T de la Syrian Air, qui prend son envol le 7 décembre, à 03 h 59 heure locale, vers une destination non précisée. D’après les données de Flightradar24, un site spécialisé dans le suivi des avions, l’appareil a initialement pris la direction de la côte méditerranéenne, vers un bastion de la communauté alaouite à laquelle appartient la famille Assad. Deux centres militaires russes majeurs y sont situés : la base aérienne de Hmeimim et la base navale de Tartous. Cependant, après avoir survolé la ville de Homs au milieu du pays, l’avion a fait demi-tour et a commencé à voler de nouveau vers l’est tout en perdant de l’altitude. Le signal a été perdu aux alentours de 04h39, lorsque l’appareil se trouvait à environ 13 km à l’ouest de Homs, à une altitude de seulement 1 625 pieds (495 m). La basse altitude a laissé croire que l’avion pourrait avoir atterri, ou subi un crash. Les circonstances précises de la perte du signal restent floues, mais Flightradar24 a précisé que l’avion était un modèle ancien, équipé d’un transpondeur de génération plus ancienne, ce qui pourrait expliquer des données incorrectes ou manquantes. De plus, l’appareil volait dans une zone soumise à un brouillage GPS, ce qui pourrait également affecter la qualité des informations. Le traqueur n’a pas non plus relevé d’aéroport dans la zone où le signal a été perdu, et aucune information n’a été donnée sur un éventuel crash. Flightradar24 a aussi rapporté qu’un avion militaire russe avait décollé dimanche de l’aéroport international de Lattaquié, à proximité de Hmeimim, avant de se rendre à Moscou. À nouveau, l’identité des passagers à bord reste inconnue. Un autre vol a attiré la curiosité des experts en sources ouvertes. Un jet Embraer Legacy 600, parti d’Abou Dhabi le soir du 7 décembre pour Homs, avant de redécoller plusieurs heures plus tard et revenir à Abou Dhabi, où il s’est posé avant 9h. Rappelons que rien n’indique que ces avions transportaient l’autocrate syrien. Si ce dernier est à Moscou, il sera probablement préservé et caché par le régime russe.
Des images prises sur le front montrent l’utilisation de trottinettes électriques par l’armée russe. La surabondance de drones, de mines et d’engins explosifs sur le front oblige les militaires à chercher des alternatives pour avancer. L’invasion de l’Ukraine par la Russie réserve encore de nombreuses surprises tant chaque camp cherche à innover. Plusieurs images du front ont été postées, montrant des soldats russes au guidon de trottinettes électriques utilisées dans le civil. Courant mai d’abord, deux militaires russes ont remercié sur Telegram des donateurs pour deux modèles qui leur ont été remis. Puis le 2 juillet dernier, une unité des forces d’assauts ukrainien a publié une vidéo de soldats russes ciblés par un tir d’artillerie. L’un des militaires russe s’enfuit de la zone touchée à bord d’une trottinette électrique, vraisemblablement le même modèle.
One of the suspects in the deadly Moscow concert hall attack appear in a Russian court to face terrorism charges. The TASS news agency cited Moscow's Basmanny District Court court as saying that two of the suspects had been charged with participating in a terrorist attack. Friday's attack killed 137 people and wounded more than 180. IMAGES