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Lors de notre visite chez Formovie, nous avons découvert le plus petit vidéoprojecteur au monde et bien d'autres innovations ! Entre innovations et ambitions, Formovie prouve qu'une start-up peut bousculer les codes du divertissement avec des produits aussi surprenants qu'efficaces. ACHETER LE FORMOVIE CINEMA EDGE AU MEILLEUR PRIX : • https://www.frandroid.com/produits/smart-tv/formovie/2322050-formovie-cinema-edge LES MEILLEURS VIDÉOSPROJECTEURS : https://www.frandroid.com/guide-dachat/843269_meilleurs-videoprojecteurs-selection SOMMAIRE : 00:00 Visite Formovie 00:37 Histoire d'Appotronics 02:48 Innovations 02:49 Vidéoprojecteurs de voitures 03:53 Le plus petit vidéoprojecteur 05:28 Le plus grand vidéoprojecteur 05:42 Vidéoprojecteur interactif 06:53 Formovie 08:31 Conclusion À DÉCOUVRIR AUSSI : • Notre émission tech “Unlock” : https://www.youtube.com/@unlocktalk • Notre chaîne dédiée à la voiture électrique : https://www.youtube.com/@Survolt%C3%A9s • Toute l’actu tech : https://www.frandroid.com SUIVEZ FRANDROID : • Twtich : https://www.twitch.tv/frandroidlive • Instagram : https://www.instagram.com/frandroid_off/ • TikTok : https://www.tiktok.com/@frandroid_ • Twitter : https://twitter.com/frandroid • Discord : https://discord.com/invite/frandroid-311789172149190657 • Facebook : https://www.facebook.com/frandroidcom TRANSPARENCE : VIDÉO NON SPONSORISÉE Nous ne sommes pas rémunérés ou sponsorisés par les constructeurs pour vous présenter ces produits. Nos choix de tests et nos avis reposent uniquement sur des critères éditoriaux et journalistiques. Nous remercions toutefois les marques qui nous fournissent, sans contrepartie financière, certains appareils afin de réaliser nos tests dans les meilleures conditions. Cela nous permet de couvrir plus largement l’actualité et de vous proposer des analyses complètes et fiables. Un like si cette vidéo vous a aidé Vos questions en commentaire Abonnez-vous pour ne rien manquer de l’actu tech
On a profité d’un nouveau passage aux USA pour tester la conduite autonome sur les routes américaines au volant du Cybertruck… Une expérience impossible à vivre en France pour le moment. Et franchement, c’est à la fois bluffant, un peu flippant, mais terriblement impressionnant ! Une vraie claque technologique qui montre à quel point l’avenir de l’auto est déjà là. ️ Plus d’infos On déroule ! Rejoignez notre serveur Discord pour discuter avec les autres membres de la communauté Frandroid, pour s'entraider, mais aussi participer à des concours exclusifs : https://discord.gg/frandroid-311789172149190657 —————————— 00:00 Intro 00:38 On teste la conduite autonome 07:51 Recharge Tesla 09:36 Notre avis sur la conduite autonome 11:51 L'extérieur 15:28 L'intérieur 23:30 Bilan —————————— Abonnez-vous à notre chaîne https://www.youtube.com/@survoltes?sub_confirmation=1 ️ Retrouvez l'émission toutes les deux semaines les mercredi à 17h sur https://www.twitch.tv/frandroidlive —————————— Frandroid est un média dédié à la tech suivi par des millions de passionné(e)s. Ici, vous trouverez des vidéos sur tous les univers, du smartphone à la voiture électrique ! Rejoignez-nous : Le site : https://www.frandroid.com/survoltes Twitter : Instagram : https://www.instagram.com/survoltes/ Twitch : https://www.twitch.tv/frandroidlive TikTok https://www.tiktok.com/@survoltes
Tesla ajoute un mode "Mad Max" à son FSD, un profil qui rend sa conduite autonome supervisée beaucoup plus rapide.
Encore une preuve que la désinformation va plus vite que les faits. Sur les réseaux chinois d’abord, puis à l’international depuis le 27 juillet 2025, la vidéo virale a tout pour faire mouche. Il faut dire que la scène a de quoi impressionner : une berline BYD Han tourne en rond à toute allure sur le parking d’un aéroport, laissant les autres utilisateurs du parking particulièrement surpris, voire inquiets, de ce qui pourrait arriver au conducteur ou aux voitures autour. Très vite, certains ont annoncé qu’il s’agissait d’une défaillance du système de conduite autonome de BYD. La rumeur s’est ainsi répandue sur les réseaux, indiquant qu’une défaillance sur le freinage aurait rendu cette voiture incontrôlable. Pourtant, la réalité est bien plus terre-à-terre. Il suffit pourtant d’observer la vidéo pour se rendre compte que rien ne permet de conclure que le véhicule est utilisé en mode autonome. Rien dans les trajectoires, la vitesse et le comportement du véhicule ne ressemble à ce que sont en mesure de proposer les marques chinoises en la matière. Alors que les rumeurs disent que le véhicule a rencontré un problème de freinage, on voit les feux stop s’allumer dans certains virages. Les trajectoires sont aussi trop irrégulières : si vous connaissez les véhicules autonomes, vous aurez observé qu’ils ont tendance à répéter la même chose dans la même situation. Ici, au premier coup d’œil, il est assez clair que la conduite est humaine — il est néanmoins tellement plus simple d’accuser l’intelligence artificielle de faire n’importe quoi. À la fin de la vidéo, on voit que la police arrive sur les lieux, la suite de la scène est manquante. Il est néanmoins possible d’avoir des informations complémentaires via les médias chinois, comme iFeng, qui racontent que la voiture s’est arrêtée sans difficulté à l’arrivée de la police et des pompiers. Le média précise : « Après enquête, il a été constaté que le conducteur, Jiang (homme de 40 ans), était contrarié, incapable de joindre le passager qu’il attendait depuis un moment. » Le conducteur lui-même a reconnu auprès de la police avoir volontairement tourné à haute vitesse sur le parking, tout en maintenant une pression sur l’accélérateur. En clair, c’est un acte irresponsable — et non une prise de contrôle du véhicule par une intelligence artificielle malveillante. Une version confirmée par un communiqué des services de police. Des vérifications approfondies ont été lancées par BYD, qui a également communiqué ses résultats : les premières données du véhicule analysées confirment que le véhicule n’a présenté aucun défaut technique. Cette affaire n’est pas seulement un fait divers mal interprété par des internautes. Elle illustre aussi la facilité avec laquelle une vidéo sortie de son contexte peut nuire à une marque, en l’occurrence BYD. D’autres marques automobiles, comme Tesla, Xiaomi, Nio ont aussi expérimenté ce type d’allégations mensongères qui tentent de les décrédibiliser auprès du grand public. Beaucoup ont d’ailleurs lancé des plaintes et des enquêtes approfondies pour remonter ces filières professionnelles de désinformation. Dans un contexte de concurrence exacerbée sur les marchés internationaux, certains n’hésitent plus à manipuler les images pour semer le doute. Dans son communiqué, le service juridique de BYD appelle à la prudence face à la désinformation. La marque dénonce une rumeur malveillante, qui nuit non seulement à son image, mais aussi à celle de toute l’industrie chinoise des véhicules électrifiés. Elle invite les internautes qui ont propagé la fausse rumeur à retirer leur publication, sous peine d’éventuelles poursuites. La diffamation est prise très au sérieux en Chine. Non, les voitures chinoises ne prennent pas le contrôle toutes seules en devenant rapidement incontrôlables. Non, cette vidéo n’est pas un bug de conduite autonome. Comme bien souvent, le maillon faible de l’histoire est installé sur le siège conducteur.
Il y a de ces modèles qui façonnent l’histoire d’un constructeur automobile. Chez Renault, ils sont nombreux, mais un en particulier a marqué son époque : la R5 Turbo de 1980. Cette version extrême de la très sage Renault 5 se dotait d’un turbocompresseur pour gonfler sa puissance à 160 ch, offrant des performances sensationnelle à l’époque. Un peu plus de 40 ans plus tard, en 2022, Renault présentait le concept délirant R5 Turbo 3E qu’on aurait cru tout droit sorti d’un jeu-vidéo. Depuis, le patron du groupe Luca De Meo avait en tête d’en faire un vrai modèle de série homologué pour la route. Complètement fou n’est-il pas ? Eh bien Renault va vraiment le faire ! Le PDG lui-même l’avait officialisé à la fin du documentaire sur le come-back de Renault. À l’image de son aïeule et sa technologie turbo en plein essor, la R5 Turbo 3E entend bien révolutionner la propulsion électrique. Nous avons pu découvrir la maquette de cette « mini-supercar » en avant-première à l’usine historique de Flins, dans les Yvelines (78). Renault annonce que le modèle de série lui sera fidèle à 95 %, comme l’a été la R5 E-Tech. Après nous avoir proposé un voyage dans le temps avec les modèles originels accompagnés de leurs versions de course puis le concept de 2022, Renault nous a conduits dans la salle finale où, derrière une fine brume, se cachait la Turbo électrique. Je suis resté tout simplement bouche bée face à ce monstre vêtu de jaune et de blanc, une livrée hommage à la R5 Turbo Tour de Corse (on y reviendra). Quelle gueule ! La sportive en impose et ses dimensions étonnantes le prouvent puisque la Turbo 3E mesure 2,03 m de large. C’est 22 cm de plus qu’une R5 normale. En longueur, la sportive gagne presque 16 cm. Démentiel. La face avant est encore plus néo-rétro que la version de base et reprend le museau carré du modèle originel, que ce soit au niveau du capot ou des projecteurs. Le bouclier proéminent est massif et fait un clin d’œil au passé avec ses trois ouïes sous le logo vintage. Tout a été pensé pour l’optimisation des flux d’air, à la fois pour l’appui aérodynamique, mais aussi pour le refroidissement des éléments de la voiture. Le milieu du capot accueille, par exemple, un énorme extracteur d’air, tandis que les ailes élargies à l’avant laissent s’échapper le flux en provenance des roues. Celui-ci s’écoule le long de la carrosserie et vient s’engouffrer dans les deux prises d’air de part et d’autre de la caisse, comme à l’époque. Ma partie préférée est sans aucun doute l’arrière, où le look bodybuildé de la Turbo 3E prend tout son sens. La voiture parait encore plus large avec des hanches carrées et un diffuseur rallongé. Le hayon gagne une arête noire frappée d’une inscription Renault en relief et du fameux « 5 ». Certains seraient tentés de dire que la Renault Turbo 3E n’est qu’une « simple » R5 sous stéroïdes. C’est bien plus complexe que ça. La Turbo est au final presque une voiture totalement différente. En effet, seulement quatre pièces sont communes avec la R5 E-Tech : les rétroviseurs, les poignées de portes quand il y en aura, le pare-brise (légèrement reculé) et bien sûr les feux arrière. La Turbo 3E repose sur un châssis en aluminium conçu spécialement pour elle par les ingénieurs d’Alpine et la carrosserie est en fibre de carbone. Pour Renault, « le but était de mettre au point un véhicule le plus léger possible, afin qu’il soit le plus agile et le plus performant possible ». Car oui, la R5 Turbo électrique affiche une fiche technique exceptionnelle digne d’une supercar : 540 ch (2 x 200 kW) et 4 800 Nm de couple 0 à 100 km/h : moins de 3,5 secondes 0 à 200 km/h : moins de 9 secondes 1 450 kg Vitesse max : 270 km/h a Turbo 3E est une pure propulsion, équipée de deux moteurs… dans les roues arrière ! Une première mondiale. Cette technologie permet de se passer de cardans entre les moteurs et les roues, offrant une meilleure restitution de la puissance. Les roues de 20 pouces chausse des gommes sport de 245 mm de large à l’avant, tandis que l’arrière grimpe à 275 mm pour faire passer la cavalerie au sol. En plus des caractéristiques d’une supercar, la Renault 5 Turbo 3E adopte des technologies électriques de pointe. La citadine ultra-sportive est le premier modèle du constructeur à posséder une architecture 800 V. Résultat, la recharge de 15 à 80 % se fait en seulement 15 minutes à une puissance maximale de 350 kW sur borne rapide. Idéal pour faire le plein entre deux sessions sur circuit. L’alimentation est assurée par une inédite batterie NMC (nickel-manganèse-cobalt) de 70 kWh. Conçue pour la piste, elle gère mieux sa température afin de pouvoir enchaîner les tours sans surchauffe. En utilisation normale, Renault promet plus de 400 km d’autonomie en cycle WLTP.
L’impressionnante salle Sphere de Las Vegas pourrait conduire à d’autres installations, plus modestes, dans plusieurs villes. Des Spheres mini, en somme. C’est l’une des nombreuses attractions de Las Vegas : la Sphere. Immense panneau publicitaire à l’extérieur, elle cache une salle de spectacle impressionnante, doublée de la salle de cinéma la plus immersive au monde (avec une expérience à quasi 360 degrés, grâce à un écran géant). Il s’agit d’un lieu unique, qui a coûté plus de 2 milliards de dollars à construire et qui représente toute la surenchère de la célèbre ville des États-Unis. La curiosité pour la Sphère donne nécessairement des idées à ses concepteurs, qui nourrissent semble-t-il l’ambition d’installer d’autres salles du genre un peu partout. À un détail près : comme on le découvre dans un article publié le 11 mars sur The Verge, l’ambition est d’opter, éventuellement, pour des modèles plus modestes de la Sphere. Vous aimez la Sphere de Las Vegas ? Il pourrait y avoir des petites boules ailleurs Sphere Entertainment travaille ainsi sur le concept d’une Sphere aux mensurations réduites, capables d’accueillir 5 000 personnes (contre jusqu’à 20 000 pour la Sphere installée à Las Vegas). Le projet permettrait à l’entreprise de baisser drastiquement les coûts de production, tout en déclinant sa Sphere pour la proposer à des villes qui ne pourraient pas accueillir la version normale (il faut de la place, sans compter les infrastructures de parking). Avec un catalogue plus varié, Sphere Entertainment pourrait séduire plus de monde, sachant qu’une ville comme Dubai accueillera une Sphere normale. Une Sphere plus petite serait aussi une vraie opportunité pour les artistes. Car s’accommoder des spécificités de la salle de spectacle immersive nécessite des ressources colossales, ne serait-ce que pour optimiser toutes les technologies qu’elle propose. Avec une échelle réduite, davantage de professionnels pourraient se permettre d’investir les lieux sans dépenser une fortune. Pour certains groupes, il a effectivement un gap entre remplir une salle de 5 000 personnes et une de 20 000 personnes, tout en s’assurant de rentabiliser chaque concert. Tout le monde n’est pas U2. À noter que nul ne sait quand ni où ces Spheres au format réduit seront installées. En verra-t-on une en France un jour ? C’est peu probable, mais rappelons quand même que Paris est l’une des rares villes du monde à avoir un parc Disney.