Description
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Au gymnase Kieffer de Sarreguemines, le club Kick Contact propose de découvrir trois disciplines : la boxe thaïlandaise, le K1 et le kick-boxing. Depuis une quinzaine d'années, le club progresse et certains de ses athlètes ont obtenu des titres prestigieux. Les deux premières séances sont gratuites. Découvrez en vidéo à quoi ressemble un peu entraînement.
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Les lunettes Oley Méta Vanguard se distinguent par leur style futuriste et leurs nombreuses fonctionnalités connectées, en faisant probablement l’un des produits les plus avancés pour les amateurs de ski et de sport. Issues d’un partenariat entre Meta, le créateur de Facebook, et Oley, spécialiste des lunettes sportives, elles intègrent une caméra placée au-dessus du nez capable de filmer en 3K, de réaliser des ralentis ou des hyperlapses, ce qui les rend particulièrement pratiques pour les sportifs. Reliées à des applications comme Strava, elles permettent d’afficher directement les données sportives, comme la vitesse, sur la vidéo. Véritable GoPro intégrée, elles offrent aussi une qualité sonore impressionnante grâce à des haut-parleurs dont la puissance se rapproche fortement d’écouteurs classiques, même en pleine descente de ski. Par rapport aux précédents modèles de lunettes connectées, les améliorations sont notables : composants modulaires, boutons placés sous les branches pour un accès facile même avec un casque, étanchéité certifiée IP67, et une robustesse confirmée par les ingénieurs qui assurent qu’elles résistent même à une immersion sous l’eau. À cela s’ajoutent toutes les fonctionnalités intelligentes propres à Meta : assistant vocal, réception de messages, musique, commandes tactiles sur les branches. Le produit se veut donc à la fois high-tech et pratique, avec un fort potentiel de succès, notamment pour la saison de ski. Reste la question du style, assez imposant et original, et du prix fixé à 549 €. Un tarif certes élevé, mais comparable à celui d’une GoPro, ce qui rend l’offre plutôt cohérente compte tenu des nombreuses fonctionnalités intégrées dans ces lunettes haut de gamme.
Ces voitures sont en réalité 100% faites de Lego. Eh oui, ce que vous voyez là, c’est une parade de voitures de Formule 1 faites en Lego avant le Grand Prix de F1 à Miami. Chaque voiture est constituée de 400 000 briques, avec un vrai moteur, de vrais pneus. Ces bolides pèsent 1 500kg, dont 1 000kg de briques Lego. Il a fallu 22 000 heures de travail pour réaliser ces 10 voitures, mais le résultat en valait vraiment la peine.
MERCREDI 26 MARS A 21H10 Avec Nicolas Gob (Joscelin), Lucy Loste Berset (Alice), Carole Bianic (Isabelle), Luce Mouchel (Monique), Pasquale d'Inca (Bernard)... Affectée par le décès de sa mère deux ans auparavant, Alice, 16 ans, est exclue du lycée et se voit envoyée par son père, Joscelin, à la campagne chez ses grands-parents. Elle se prend de tendresse pour un veau, mais elle comprend que l’abattoir attend le jeune animal. Prête à tout pour le sauver, Alice se rapproche d’un groupe de militants et s’engage avec toute la force et l’excès de son âge, loin d’imaginer que ce combat contre la souffrance animale pourrait devenir le terrain de sa réconciliation avec son père, de leur résilience à tous deux...
On entre dans la troisième année de la guerre en Ukraine, et s’il y a bien un drone de moyenne envergure qui a marqué ce conflit, c’est le Shahed-136. Et sa version russe, le Geran-2, puisque la Russie a tout simplement racheté la technologie iranienne pour en produire elle-même. C’est un drone assez imposant, 2,5 mètres d’envergure, chargé avec 40 à 50 kilos d’explosifs, conçu pour une seule mission : s’écraser sur sa cible. On l’a surtout vu au-dessus des villes ukrainiennes, car il est principalement utilisé pour des missions de démoralisation : c'est-à-dire, frapper la population civile et les infrastructures énergétiques, notamment en hiver, pour priver une ville d’électricité ou de chauffage. Un Shahed, en soi, ce n’est pas un drone discret. Il est relativement bruyant, il vole lentement, et il est souvent détecté avant d’atteindre sa cible. Le problème, c’est que la Russie ne les envoie jamais seuls. Généralement, c’est par vagues, des dizaines en une nuit, dispersés sur différents points d’une ville, en saturant la défense anti-aérienne et toucher des points sensibles, comme récemment, la centrale de Tchernobyl. De son côté, l’Ukraine a repris ces tactiques à sa manière, en développant ses propres drones longue portée. Certains peuvent aller très loin, jusqu’à 1000 km à l’intérieur du territoire russe. Parfois, ce sont des modèles assez sophistiqués, comme le Beaver – littéralement "le Castor" – un drone qui a déjà visé des bâtiments du renseignement russe. Mais l’Ukraine utilise aussi des modèles bien plus rudimentaires, qui ressemblent à de simples avions de tourisme autonomes. Sauf que malgré leur apparence basique, ces drones ont réussi à frapper des raffineries de pétrole situées à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière.