Description
Added on the 20/12/2021 03:19:57 - Copyright : AFPTV - First images
A Russian rocket carrying Japanese billionaire Yusaku Maezawa, his production assistant Yozo Hirano and Russian cosmonaut Alexander Misurkin blasts off from the Baikonur cosmodrome towards the International Space Station. IMAGES
A Russian Soyuz rocket blasted off from the Baikonur cosmodrome in ex-Soviet Kazakhstan on Wednesday carrying a Japanese billionaire to the International Space Station. The rocket carrying online fashion tycoon Yusaku Maezawa, 46, and his assistant took off at 0738 GMT and is scheduled to arrive at the ISS about six hours later at around 1341 GMT. IMAGES
Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! Nous avons reçu une pièce de la collection L'Odyssée Spatiale de la Monnaie de Paris en collaboration avec l'astronaute français Thomas Pesquet : on vous en dit plus !
Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! Ces images d’aurores boréales ont été capturées depuis la Station spatiale internationale. Zena Cardman, astronaute actuellement en mission à bord de l’ISS, a partagé cette vidéo sur X le 17 novembre. Elle confie n’avoir jamais vu d’aurores depuis la Terre, alors qu’en orbite, le spectacle est fréquent Sur ce cliché, on distingue Houston, la Floride et les aurores boréales dans un même cadre, juste avant que l’équipage ne survole le golfe et une série d’orages spectaculaires illuminant l’Amérique du Sud au lever du soleil. Crédits : NASA/JSC/Z. Cardman
Voilà une semaine que l’équipage de la mission Shenzhou 20 aurait dû rentrer sur Terre, après un séjour de six mois à bord de la station spatiale chinoise Tiangong. Mais depuis le 5 novembre, les choses ne se passent pas tout à fait comme prévu pour le commandant Chen Dong et ses collègues Chen Zhongrui et Wang Jie. En effet, les trois taïkonautes sont actuellement contraints de rester en orbite autour de la Terre pour un temps indéterminé, en raison d’une incertitude sur l’intégrité de la capsule qui doit les ramener en Chine. Celle-ci a peut-être été heurtée par un débris spatial, ce qui pourrait la rendre trop dangereuse pour une rentrée atmosphérique. Le dossier, supervisé par l’Agence des vols spatiaux habités (CMSE), a fini par faire couler beaucoup d’encre — en raison, notamment, du silence des officiels. Ces jours-ci, l’idée d’une opération de secours menée par SpaceX a même été avancée, au moyen d’une capsule Crew Dragon. Ce scénario est cependant trop invraisemblable, tant les obstacles sont nombreux. Mais les choses semblent bouger. Dans un point d’étape du 11 novembre, la CMSE a déclaré que « la mission de retour de l’équipage de Shenzhou 20 progresse de manière ordonnée ». L’agence a suggéré avancer prudemment sur ce dossier, en adhérant au principe de « la vie avant tout, la sécurité avant tout ». Pas question de prendre des risques, donc. On ignore à ce stade quel est le plan que privilégie la CMSA pour rapatrier les trois Chinois, à supposer qu’un plan ait été sélectionné. En revanche, une synthèse de tout ce qui a été fait depuis la découverte d’une fragilisation éventuelle de la capsule a été partagée. Et, d’après la CMSA, tout se passe « conformément au plan. » « Les équipes ont procédé à une analyse par simulation à des essais et à une évaluation de sécurité du vaisseau spatial », peut-on lire. « Elles ont étudié par ailleurs le plan de mise en œuvre du retour de l’équipage, tandis que les différents systèmes mènent rigoureusement tous les tests et vérifications intégrés selon les procédures établies. » Le communiqué de la CMSA est suffisamment vague pour laisser place à toutes les théories. Il n’y a même pas d’indication technique sur l’intégrité du vaisseau, ce qui maintient le doute après une semaine de silence radio. Certains observateurs se demandent si l’agence a dans l’idée de faire revenir les trois individus avec la capsule originale. D’autres voient des indices d’un départ précipité de la capsule prévue pour Shenzhou 22, pour ramener les trois malheureux. La station spatiale chinoise accueille actuellement six personnes : les trois membres de Shenzhou 20 ainsi que la relève de trois autres taïkonautes formant l’équipage de Shenzhou 21. Si Tiangong est plutôt dimensionnée pour des séjours longs de trois personnes, elle peut quand même recevoir ponctuellement un peu plus de monde, sans problème. L’agence certifie en tout cas que tout va bien : « l’état de la station est normal, et elle dispose de la capacité de soutenir deux équipages en orbite simultanément. L’équipe de Shenzhou 20 mène une vie et un travail normaux à bord, et participe conjointement avec l’équipage de Shenzhou 21 à des expériences et essais scientifiques. »