Description
Added on the 22/11/2021 18:09:48 - Copyright : Euronews EN
Trois ans après une première saison couronnée de succès, la série sud-coréenne revient pour 7 nouveaux épisodes, toujours sur Netflix. Et si vous avez déjà englouti cette saison 2 de Squid Game, nous avons une bonne nouvelle pour vous : un cadeau vous attend au pied du sapin. Dès la sortie de sa saison 1, en 2021, Squid Game est devenue un véritable phénomène mondial, entre goodies à gogo, campagnes promotionnelles gigantesques et télé-réalités dérivées remplies de malaise. Et en cette fin d’année 2024, Netflix vient enfin de déposer son cadeau au pied du sapin : la saison 2 de la série sud-coréenne, tout juste dévoilée le 26 décembre. Pour accompagner cette suite, très attendue, la plateforme de streaming a évidemment mis les petits plats dans les grands. Un jeu mobile façon battle royale, nommé Squid Game: Unleashed (ou Squid Game : Déchaînés), a ainsi été dévoilé, le 17 décembre. Il s’agit d’une première pour Netflix puisque le jeu, qui met en scène 32 joueurs en simultané dans des parties inspirées de la série, est même accessible aux non-abonnés. Et si vous avez déjà binge-watché la saison 2 de la série, le géant du streaming a pensé à tout : vous pouvez gagner des récompenses, dans ce jeu disponible sur Android et iOS.
Squid Game est loin d’être une comédie. Pourtant, depuis ses débuts, en 2021, un élément en particulier amuse les fans : le jeu très étrange des VIPs, devenu une blague virale sur les réseaux sociaux. Ces personnages, totalement malsains, ont même été comparés à Elon Musk par le créateur de la série, Hwang Dong-hyuk. Alors que la saison 3 cartonne actuellement sur Netflix depuis sa sortie, le 27 juin 2025, le débat autour des dialogues de ces antagonistes maléfiques a ressurgi. L’occasion pour Bryan Bucco, l’un des comédiens derrière ces masques, d’intervenir pour rétablir la vérité et nous offrir, enfin, des réponses sur le sujet. Le 30 juin 2025, Bryan Bucco, qui se trouve derrière le masque en forme d’aigle, a ainsi réagi à une vidéo parodique — elle critiquait justement le jeu désastreux des VIPs dans le drama coréen. Il a alors révélé qu’en version originale, les acteurs anglophones étaient en réalité redoublés… en anglais. Ce n’est donc pas sa voix que l’on entend dans les séquences mettant en scène ces voyeurs capitalistes, comme il l’a expliqué dans les commentaires. Pour autant, il estime que la version coréenne ne devrait pas avoir de doublage supplémentaire : « S’il y en a un, c’est probablement à cause de certaines lignes de dialogues spécifiques qui ont été réenregistrées pour davantage de clarté. » Le problème, c’est que les doublages manquent clairement de finesse et sont plutôt ridicules, comme si les acteurs n’arrivaient pas à bien jouer. Les dialogues, eux, ne sont pas non plus extrêmement convaincants. Pour Bryan Bucco, certaines voix semblent « davantage modifiées que d’autres », mais globalement, « on dirait qu’ils ont utilisé la voix de comédiens de doublage pour tenter de nous ressembler. Je ne veux même pas dénigrer mon doubleur parce que je pense qu’il a fait ce qu’il a pu. Je suis sûr que ce n’était pas non plus facile pour lui de réciter ces dialogues. » L’acteur a ainsi admis qu’avec les autres interprètes des VIPs, ils s’étaient longuement interrogés sur le script : « Chaque nuit, nous étions assis ensemble à lire les dialogues, en nous demandant s’ils devaient vraiment être dits. » Il reconnaît aussi que l’arc narratif autour des VIPs aurait pu être encore plus approfondi ou mieux écrit, regrettant que ces personnages soient globalement « inutiles ». Malgré tout, il reste plutôt satisfait d’avoir pu participer à Squid Game, à son échelle. Il décrit ainsi une « belle expérience » : « Tout le monde était très sympa, du casting à l’équipe de tournage. Nos scènes étaient toujours les dernières à être exécutées. Cela signifie qu’aucun autre acteur principal n’était là, à l’exception du Front Man. Nous avons tourné pendant seulement 3 jours, mais c’était une pause sympathique au milieu des études et du travail. »
Dès le premier épisode de sa saison 7, Black Mirror a frappé très fort avec une histoire coup de poing, autour d’un couple confronté à la maladie. Mike décide alors de sauver la vie d’Amanda en acceptant un programme révolutionnaire : Rivermind, capable de remplacer des tumeurs au cerveau par du tissu synthétique, pour permettre aux patients de retrouver une existence normale. Une technologie bénéfique au premier abord, qui prend un tournant glaçant lorsqu’un système d’abonnement demande de plus en plus d’énergie et d’argent à Mike et Amanda… Pourtant, un tel dispositif est loin de la réalité pour Valentin Wyart : « On n’a pas du tout les technologies nécessaires aujourd’hui pour prendre l’empreinte d’une région du cerveau. Cela représente énormément de neurones et de connexions synaptiques. » Si des implants cérébraux existent déjà, ils restent beaucoup plus simples que les dispositifs évoqués dans l’épisode 1, et notamment les publicités déclamées par Amanda : « Des entreprises comme Neuralink, dirigée par Elon Musk, font des recherches au niveau du cortex moteur. Si on le stimule, on peut théoriquement produire des mouvements chez vous, chez moi ou chez un animal qu’on aurait implanté. Mais cela donnerait l’impression d’être contrôlé par une entité extérieure. Et on pourrait peut-être faire bouger une souris dans une direction particulière, mais c’est bien le maximum qu’on pourrait faire. Il faut bien comprendre qu’une technologie qui fonctionne déjà à un niveau très simple ne pourrait pas nécessairement être améliorée dans le futur. » Valentin Wyart est donc clair sur les dispositifs mis en place dans Des gens ordinaires : « Cette technologie, je pense, n’existera jamais. Et heureusement ». Vous pouvez dormir tranquilles.
Est-ce que Black Mirror pourrait exister dans la vraie vie ? La série est-elle réaliste ? Voilà les questions que l'on se pose généralement après avoir vu l'un des épisodes angoissants de la série Netflix. Pour savoir si les technologies montrées à l'écran sont vraiment réalistes, nous avons demandé à Valentin Wyart, directeur de recherches à l'Inserm et spécialiste des neurosciences cognitives pour l'ENS, de nous éclairer sur la question. Et spoiler : la saison 7 de la série de SF n'est pas prête de ressembler à notre quotidien. Sommaire 00:00 - Un spécialiste de neurosciences décrypte la saison 7 de Black Mirror 00:20 - Est-ce qu'on peut guérir un cerveau avec un tissu récepteur synthétique ? (Des gens ordinaires) 02:40 - Peut-on programmer un cerveau ? (Des gens ordinaires) 06:08 - Est-ce que notre cerveau peut nourrir un serveur ? (Des gens ordinaires) 07:47 - Est-ce qu’une telle technologie pourrait vraiment “aiguiser nos sens” ? (Des gens ordinaires) 10:49 - Test de Turing, peut-on vraiment parler de formes de vies numériques avec un cerveau ? (De simples jouets) 13:14 - Pourquoi sommes-nous addicts à certains jeux vidéo ? (De simples jouets) 14:37 - Est-ce que les substances peuvent nous aider à mieux comprendre une langue ? (De simples jouets) 15:48 - Peut-on s'implanter une puce dans le cerveau pour se connecter à un jeu ? (De simples jouets) 17:32 - Peut-on faire une mise à jour de la race humaine ? (De simples jouets) 19:29 - Que se passe-t-il dans notre cerveau lorsque l’on se souvient de quelque chose en particulier ? (Eurologie) 23:07 - Pourra-t-on un jour entrer littéralement dans une photo ? 28:20 - Est-ce que la série Black Mirror est réaliste ? L'article par ici ► https://numerama.com --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
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Curiosity, Perseverance, Sojourner, les robots sont sur Mars depuis presque 30 ans. Mais, à quoi servent-ils vraiment ? Qu'ils soient à la recherche d'eau, de fossiles, de traces de vie sur la planète rouge, le docteur en planétologie Thomas Appéré répond, en s’appuyant sur le modèle en Lego de Perseverance, fidèle au véritable rover de la Nasa sur Mars. --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama?lang=fr Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama --- Réalisation : Thomas Ancelle Avec : Nelly Lesage --- #numerama #perseverance #nasa