Description
Added on the 09/11/2021 15:48:55 - Copyright : AFPTV - First images
Belarusian President Alexander Lukashenko visits a centre for the hundreds of migrants that remain in Belarus after attempting to cross into the EU via the Polish border. Thousands of migrants -- mainly Iraqi Kurds -- have spent months trying to get into the European Union from Belarus. The crisis escalated earlier this month with around 2,000 setting up a makeshift camp on the border in freezing conditions. IMAGES
Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! @panayotispascot et @farylopesb nous expliquent comment ils prédisent ce qui pourrait potentiellement arriver dans Loups Garous Loups Garous saison 2 est d'ores et déjà disponible sur Canal+ !
Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! Quelles cartes du jeu du Loup Garou seraient @farylopesb et @panayotispascot ? Loups Garous saison 2 est d'ores et déjà disponible sur Canal+ ! __ #numerama #loupsgarous #série #jeu #canalplus #popculture
Kamini a marqué l’histoire d’Internet avec Marly-Gomont, dont le clip est le premier buzz français sur YouTube. Dans une interview inédite, il nous confie ses souvenirs et nous explique l’impact que ce succès a eu sur lui, sur les gens et sur ce village. Il n’est pas non plus en manque de projets. « Je viens pas de Paname mais de Marly-Gomont » : personne n’a oublié Marly Gomont, et relancer ce célèbre clip donne un agréable goût de nostalgie sur ce qu’était Internet il y a 20 ans. Car Marly-Gomont a profondément marqué l’histoire de YouTube : ce clip de rap — au flow impeccable — est le premier buzz de la plateforme en France. « Ça s’est passé le 12 septembre 2006, en tout cas pour moi », nous confie Kamini dans notre interview Cybercafé, dans laquelle il nous raconte l’histoire du clip et son impact. Cette date n’est pas celle de la mise en ligne de la vidéo sur YouTube, mais celle où, pour la première fois, quelqu’un reconnaît Kamini dans la rue.
Marly-Gomont n’a pas seulement marqué les esprits : ce succès a eu un impact important sur le village lui-même. « C’est un village qui a beaucoup bougé. Maintenant, il y a un estaminet qui cartonne. Il y a une boulangerie, alors qu’il y en avait plus. Il y a un coiffeur, un charcutier. » Lorsque le pharmacien a pris sa retraite, et qu’il ne trouvait aucun repreneur, Kamini a mobilisé ses propres réseaux sociaux pour sauver le commerce — une mission parfaitement réussie. Et Kamini est loin de lâcher son « petit patelin » adoré : il nous annonce préparer un festival. « Est-ce que ce sera un festival de cinéma, d’humour ou de musique ? Je ne sais pas. Mais je suis dans les starting-blocks pour essayer d’apporter encore de la lumière sur le village, par rapport à la chance qu’il a donnée à mon papa, à ma famille et tout simplement à ma destinée. »