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Added on the 12/05/2016 16:34:13 - Copyright : Eyewitness Video Online
La Chine a créé le câble GPMI : il remplace les câbles HDMI, USB, Ethernet et même l'alimentation !
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Une bonne partie d'Internet était complètement indisponible le 18 novembre dernier et c'est la faute de : Cloudflare. On vous explique !
C'est un téléphone pour animaux de compagnie. Oui, c'est super bizarre, mais regardez-moi ça ! Le concept est simple : un petit boîtier s'accroche au collier d’un chien ou d’un chat et permet, à tout moment, de l’appeler depuis une application. Si vous êtes au travail et que vous voulez le rassurer, vous pouvez lui envoyer un message avec votre voix. L’une des particularités amusantes de ce produit, c'est que si l’animal bouge, cela peut automatiquement déclencher un appel sur votre téléphone ou vous envoyer une notification. Par exemple, si un chien commence à stresser, l’appareil peut détecter son agitation et déclencher un appel vers son propriétaire. Vous recevez alors l’appel et pouvez discuter avec lui. Comme ça, c’est vrai que ça ressemble à un gadget. Mais quand on a un jeune animal à la maison, on s’inquiète souvent pour lui et on aimerait savoir dans quel état on va le retrouver en rentrant le soir. Grâce à ce dispositif, on peut se rassurer un peu et même lui apprendre à interagir avec nous. Bon, il y a aussi de grandes chances que l’animal n’en ait rien à faire et qu’il ignore complètement le son, mais ça reste une innovation amusante. Imaginez un jour où chaque chien ou chat aurait son propre téléphone !
Au MWC 2025, l’entreprise Lenovo montre un PC portable très original, puisque pourvu de panneaux solaires. Numerama l’a vu. Lenovo n’est pas venu au MWC, grand salon européen de la tech, les mains vides. Le constructeur a présenté un concept qui peut paraître étrange de prime abord : un PC portable équipé d’un panneau solaire. Lenovo explique vouloir répondre à un besoin écologique avec son prototype baptisé Lenovo Yoga Solar PC Concept — que Numerama a pu voir de près. Concrètement, le but est de fournir au PC une alimentation plus propre, en absorbant la lumière pour la convertir en énergie. « Son système intelligent de gestion de l’énergie ajuste en temps réel la charge pour une efficacité optimale, même en faible luminosité », indique Lenovo. Comme le produit n’est qu’au stade de prototype, sa fiche technique complète reste inconnue, notamment en termes de luminosité de l’écran (une donnée pourtant importante en cas d’utilisation à l’extérieur). 20 minutes d’exposition au soleil pour 1 heure de batterie Dans son communiqué, Lenovo explique que son ordinateur s’appuie sur la technologie Black Contact Cell : les cellules photovoltaïques, ultraperformantes, sont reliées à l’arrière, plutôt qu’à l’avant. Le but ? Offrir « une surface supplémentaire dédiée à la production d’énergie, ce qui améliore son rendement », selon le site spécialiste Allo.Sollar. Ainsi, la technologie Black Contact Cell est particulièrement adaptée aux petits panneaux solaires, ce qui est le cas pour un PC (comparativement au toit d’une maison). Le taux de conversion serait de 24 % selon Lenovo, ce qui donnerait alors une heure d’autonomie (en lecture vidéo) pour 20 minutes d’exposition au soleil. Bien évidemment, plus la luminosité de l’environnement sera faible, moins la batterie pourra être alimentée. Mais pour celles et ceux qui travaillent souvent en mobilité, ces quelques dizaines de minutes grattées sans avoir à brancher son PC peuvent changer la donne. On pourrait croire qu’un tel dispositif pourrait avoir une incidence sur les mensurations du produit. Il n’en est rien en ce qui concerne ce prototype, qui est à la fois fin (15 mm) et léger (1,22 kg). Et comme Lenovo le voit comme un PC durable, au sens écologique du terme, il se compose de matériaux recyclés. Point de vue design, on remarque quand même que la surface supérieure — celle où est installé le panneau solaire — est très, très réfléchissante. Pas cool pour les traces de doigts. Y a-t-il un marché pour un PC portable pourvu d’un panneau solaire ? À une époque où les autonomies ne cessent de grimper (jusqu’à 22,5 heures pour un Yoga Slim 7, par exemple), on en doute. Tout dépend du prix : si l’option panneau solaire ne se fait pas trop sentir sur la facture, alors pourquoi pas. Lenovo croit en tout cas en l’énergie solaire, puisqu’il a également mis au point des petits panneaux portatifs, pourvus d’un port USB-C, pour recharger une power bank n’importe où.
On a pu conduire le CYBERTRUCK pendant une virée en Californie ! Mais alors, c'est bien ou pas ? La première impression ressentie en présence du Cybertruck le confirme, l’engin est assez massif. Pourtant, il y a plus gros sur la route, y compris des modèles importés jusqu’en Europe comme le Hummer EV. Néanmoins, le design angulaire et la carrosserie en acier inoxydable jouent sur la perception de son gabarit. Le regard est forcément attiré par les arêtes assez saillantes de ses différents panneaux. Il n’était pas question de tester si le modèle présenté pouvait faire épluche-légumes, comme le montrent de nombreuses vidéos sur le net. Malgré tout, la conception du modèle interroge notamment en cas d’accident. Quant à savoir si Tesla vise à le faire homologuer en Europe, il n’y aura aucune réponse officielle à la question pour l’heure. Ce n’est pas la priorité du constructeur, qui se concentre déjà pour livrer les nombreux clients américains. Comment parler d’une rencontre avec le Tesla Cybertruck sans aborder son essuie-glace unique spectaculaire ? Il a beaucoup été moqué, mais il faut bien l’avouer, l’appendice est particulièrement disgracieux sur le parebrise du Cybertruck. L’essuie-glace est plus long que mes propres jambes, c’est quand même vraiment surprenant sur un véhicule de ce genre. Le coffre avant (frunk) est assez pratique pour servir de banc. Toutefois, pour y stocker des objets, c’est moins certain. La benne à l’arrière est elle assez impressionnante. En plus, son volet électrique est tout de même plutôt cool à utiliser, en espérant que ce ne soit pas une pièce qui tombe trop rapidement en panne. L’ouverture des portières par le bouton est un peu déroutante, mais finalement cela ne fonctionne pas si mal. Cela dit, elle n’ouvre la portière que de quelques centimètres, il faut ensuite manœuvrer les imposantes portes en empoignant la carrosserie acier. Tesla n’est pas le seul à opter pour ce genre d’ouverture, mais il reste difficile d’y voir un réel intérêt. Le challenge est ensuite de ne pas trop laisser de traces de mains sur la carrosserie, autant dire que ce n’est pas gagné d’avance. Un élément à l’intérieur interpelle aussi beaucoup : la planche de bord interminable. Il est clairement déconseillé de laisser quoique ce soit sur le tableau de bord, sous peine de ramer pour aller le récupérer tout au bout à la jonction avec le parebrise. Cet espace est globalement inexploitable au quotidien, c’est de la place perdue. C’était néanmoins incontournable pour le modèle, car le parebrise est fortement incliné. De ce fait, le conducteur est particulièrement reculé dans l’habitacle. Quant au reste de son intérieur, le Tesla Cybertruck semble quand même particulièrement proche du reste de la gamme. Exception faite du volant encore différent de la nouvelle Model 3, de la Model S (volant Yoke) ou du volant traditionnel de Model Y. L’écran central est grand et équipé de la dernière mouture du logiciel, qui arrive sur les autres modèles. Il vaut mieux être en bonne forme physique pour grimper à bord du Cybertruck. Comme tous les pickups du genre, l’assise est très haute, mais Tesla n’a pas intégré de poignées pour faciliter la montée et descente du véhicule. Avec un jeans un peu trop serré, j’ai franchement peiné à m’installer sur le siège conducteur avec élégance. Pour le reste, le Cybertruck surprend par la luminosité à son bord. Les surfaces vitrées, même taillées à la serpe, sont assez agréables et l’espace à bord fait le reste pour apporter tout le confort nécessaire à tous les occupants. Chacun classera l’engin dans la catégorie qu’il souhaite. Le Tesla Cybertruck ne m’emballe pas réellement, avec son design anguleux et son manque de praticité. Je lui préfère le Ford F-150 Lightning, mais je comprends l’intérêt qu’il peut provoquer. C’est en tout cas un modèle à découvrir en vrai pour se faire une opinion. Il est intéressant de noter que l’exemplaire choisi pour faire la tournée française ne souffre pas de défauts de carrosserie, comme on a pu l’observer sur d’autres modèles livrés à des clients.