Description
Added on the 21/11/2024 17:45:02 - Copyright : Numerama
Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! C’est officiel : Google lance Gemini 3 Pro et les chiffres sont hallucinants. Il s’agit du nouveau meilleur modèle de langage dans la quasi-totalité des tests officiels, avec des résultats largement supérieurs à ceux d’OpenAI (GPT-5.1), Anthropic (Claude) et xAI (Grok) ! On vous en dit plus
Voilà une semaine que l’équipage de la mission Shenzhou 20 aurait dû rentrer sur Terre, après un séjour de six mois à bord de la station spatiale chinoise Tiangong. Mais depuis le 5 novembre, les choses ne se passent pas tout à fait comme prévu pour le commandant Chen Dong et ses collègues Chen Zhongrui et Wang Jie. En effet, les trois taïkonautes sont actuellement contraints de rester en orbite autour de la Terre pour un temps indéterminé, en raison d’une incertitude sur l’intégrité de la capsule qui doit les ramener en Chine. Celle-ci a peut-être été heurtée par un débris spatial, ce qui pourrait la rendre trop dangereuse pour une rentrée atmosphérique. Le dossier, supervisé par l’Agence des vols spatiaux habités (CMSE), a fini par faire couler beaucoup d’encre — en raison, notamment, du silence des officiels. Ces jours-ci, l’idée d’une opération de secours menée par SpaceX a même été avancée, au moyen d’une capsule Crew Dragon. Ce scénario est cependant trop invraisemblable, tant les obstacles sont nombreux. Mais les choses semblent bouger. Dans un point d’étape du 11 novembre, la CMSE a déclaré que « la mission de retour de l’équipage de Shenzhou 20 progresse de manière ordonnée ». L’agence a suggéré avancer prudemment sur ce dossier, en adhérant au principe de « la vie avant tout, la sécurité avant tout ». Pas question de prendre des risques, donc. On ignore à ce stade quel est le plan que privilégie la CMSA pour rapatrier les trois Chinois, à supposer qu’un plan ait été sélectionné. En revanche, une synthèse de tout ce qui a été fait depuis la découverte d’une fragilisation éventuelle de la capsule a été partagée. Et, d’après la CMSA, tout se passe « conformément au plan. » « Les équipes ont procédé à une analyse par simulation à des essais et à une évaluation de sécurité du vaisseau spatial », peut-on lire. « Elles ont étudié par ailleurs le plan de mise en œuvre du retour de l’équipage, tandis que les différents systèmes mènent rigoureusement tous les tests et vérifications intégrés selon les procédures établies. » Le communiqué de la CMSA est suffisamment vague pour laisser place à toutes les théories. Il n’y a même pas d’indication technique sur l’intégrité du vaisseau, ce qui maintient le doute après une semaine de silence radio. Certains observateurs se demandent si l’agence a dans l’idée de faire revenir les trois individus avec la capsule originale. D’autres voient des indices d’un départ précipité de la capsule prévue pour Shenzhou 22, pour ramener les trois malheureux. La station spatiale chinoise accueille actuellement six personnes : les trois membres de Shenzhou 20 ainsi que la relève de trois autres taïkonautes formant l’équipage de Shenzhou 21. Si Tiangong est plutôt dimensionnée pour des séjours longs de trois personnes, elle peut quand même recevoir ponctuellement un peu plus de monde, sans problème. L’agence certifie en tout cas que tout va bien : « l’état de la station est normal, et elle dispose de la capacité de soutenir deux équipages en orbite simultanément. L’équipe de Shenzhou 20 mène une vie et un travail normaux à bord, et participe conjointement avec l’équipage de Shenzhou 21 à des expériences et essais scientifiques. »
Les actionnaires de Tesla ont voté ce 6 novembre un accord pour rémunérer Elon Musk à hauteur de 1 000 milliards de dollars afin de maintenir l'homme à la tête du groupe, mais pas sans condition...
À San Francisco, Waymo propose un service de taxis autonomes accessible de tous les habitants. Et ce n’est pas le seul, d’autres marques développent aussi un système similaire comme Tesla ou encore Amazon avec ses Zoox. Ces concurrents d’Uber envoient des véhicules électriques sans personne à l’intérieur, avec un volant qui tourne tout seul. Le passager n’a qu’un écran de contrôle à l’arrière pour lui demander de s’arrêter ou de modifier son itinéraire. Reportage de notre journaliste Nicolas Lellouche.
Elon Musk, propriétaire de X, dévoile la version 0.1 de Grokipedia, une encyclopédie « anti-woke » générée par IA et présentée comme une alternative à Wikipédia. Mais ses premières pages montrent un biais évident : les figures de droite alternative y sont souvent à leur avantage. L’alternative « anti-woke » à Wikipédia est en ligne. Elon Musk, propriétaire du réseau social X, a lancé le 27 octobre 2025 la version 0.1 de Grokipédia, une encyclopédie générée et animée par IA via sa société xAI. Présentée comme une riposte à Wikipédia, contre laquelle Elon Musk est parti en croisade à de multiples reprises, cette première mouture compte environ 885 000 articles — loin des dix millions de sa rivale — et semble étrangement familière. À quelques détails près.