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Added on the 22/10/2013 13:54:52 - Copyright : Euronews EN
Htin Kyaw, the man chosen by Aung San Suu Kyi to serve as her proxy, was sworn in as the president of Burma, also known as Myanmar, on Wednesday in a historic power shift away from outright army rule.
So far, Nobel Peace Prize winner Aung San Suu Kyi has won two thirds of the seats in Myanmar's lower house of the parliament in the country's historic elections. But even with a victory Myanmar laws do not allow Suu Kyi to become president.
The leader of Myanmar's ousted government, Aung San Suu Kyi, asked a court on Monday to be allowed to meet her lawyers in person as she faces charges filed since she was overthrown in a Feb. 1 coup, one of her lawyers said. Suu Kyi, who has been held in detention since the coup, appeared for a court hearing on a video link. One more charge was filed against her, related to a natural disaster law, lawyer Min Min Soe said.
Young people in Myanmar are fighting the military junta's information suppression and internet shutdown by producing an underground printed newsletter.
Jusque-là, seules les discothèques et les épiceries de nuit devaient proposer des éthylotests à leurs clients. Cette obligation va bientôt s'étendre à tous les magasins qui vendent de l'alcool. Mais Julien Chivé, caviste bordelais, n'est pas vraiment convaincu. "Je trouve que ça ne sert pas à grand-chose. Les gens savent bien qu'après deux verres, il faut s'arrêter si on veut reprendre la voiture. Et les clients rencontrés ce jeudi matin ne voient pas non plus l'intérêt d'en acheter. "Ca me semble absurde", lance l'un d'eux. "De toute façon, après deux verres, on sera positif, donc c'est à chacun de se gérer", explique un autre.Dans l'épicerie de Virgine Matheron, à Talence (Gironde), il est difficile de trouver une place pour les éthylotests. La gérante doit enlever des produits et envisage surtout des coûts supplémentaires. En effet, dans le supermarché Carrefour City, qui en commercialise depuis un an, ces produits ne sont pas très populaires. "On en a vendu trois en un an", confie le gérant. Près de 50 000 commerçants devraient proposer des éthylotests à partir du 1er juillet, sous peine d'une amende de 675 euros.