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Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! Yann LeCun, génie français de l'IA, a enfin révélé pourquoi il avait quitté Meta ️ __ #meta #ia #france #markzuckerberg #tech #numerama
Le mystère autour d'un assasinat royal vieux de 753 ans a enfin été résolu grâce à la science !
Le nouvel iPhone 17 Pro Max est-il enfin le vrai « Pro » qu’on attendait ? Batterie record, zoom x8 impressionnant, écran anti-reflets, nouveau design en aluminium et surtout un système de refroidissement inédit : Apple semble enfin corriger les erreurs des iPhone 15 Pro et 16 Pro. Après une semaine avec l’appareil, nous vous proposons en avant-première un des premiers tests complets de l’iPhone 17 Pro Max en français. Au programme : le refroidissement comparé à la caméra thermique, des mesures d’autonomie et de recharge, plus de 600 photos prises avec les différentes focales, la puce A19 Pro… Les réponses à toutes vos questions sur l’iPhone 17 Pro et l’iPhone 17 Pro Max sont sur Numerama (et, promis, les tests des iPhone Air et iPhone 17 arrivent !)
Deux études, américaine et japonaise, ont découvert pourquoi certains chats sont de couleur orange. Ces études, pas encore revues par des pairs et mises en ligne à la fin du mois de novembre 2024, arrivent à la même conclusion qui implique la surexpression d’un gène. Boules de poils à la teinte de feu, chaotiques, mais affectueux, le mystère de la teinte des chats roux vient d’être percé. Sans se concerter, deux équipes de chercheurs, l’une américaine supervisée par Gregory Barsh de l’Université de Standford et l’autre japonaise, supervisée par Hiroyuki Sasaki de l’Université Kyushu, sont arrivées à la même conclusion concernant l’explication de la couleur orange de certains chats. Les études, non revues par les pairs pour le moment, ont été mises en ligne à la fin du mois de novembre 2024 sur le serveur bioRXiv. Un gène surexprimé chez les chats roux Les études démontrent que dans les cellules de peau (appelées mélanocytes) d’où poussent des poils orange, il y a une expression trop importante du gène Arghgap36. Les chercheurs ont d’abord émis l’hypothèse d’une mutation dans la section codante de l’ADN (la partie qui aboutira à la formation d’une protéine). Cependant, ils ont finalement réalisé qu’il manquait simplement une petite partie d’ADN non-codant (qui n’a donc pas de rôle dans la formation de la protéine finale). Cette partie manquante jouerait, par contre, un rôle dans la régulation de l’expression du gène Arhgap36. Hiroyuki Sasaki explique dans son étude : « La région supprimée contient un élément régulateur putatif hautement conservé, dont la suppression provoque probablement une altération de l’expression d’ARHGAP36 ». Dans la revue Science, Gregory Barsh, auteur de l’étude américaine de l’Université de Standford, explique en parlant du gène Arhgap36 : « Il est impliqué dans de nombreux aspects du développement embryonnaire et des mutations majeures affectant sa fonction dans tout le corps tueraient probablement l’animal. Il semble que chez les chats, cela est présent juste dans les mélanocytes ». L’implication du chromosome X Ce gène, responsable de la couleur rousse des chats, se localise sur le chromosome X. Chez les mâles, il sera donc forcément exprimé dans toutes les cellules, puisqu’il est seul. C’est ce qui explique que les mâles sont entièrement roux. En revanche, puisque les femelles possèdent 2 chromosomes X dans chaque cellule, il y en a toujours un des deux qui est inactivé. Les gènes situés sur ce chromosome X inactivé ne seront donc pas exprimés dans cette cellule. Et c’est pourquoi les femelles ont le plus souvent un pelage plutôt en patchwork, mélangeant le roux et le brun ou le noir. Ces recherches permettent de mieux comprendre des phénomènes génétiques, et de saisir la complexité des interactions entre les gènes pour améliorer les recherches à venir. Leslie Lyons, généticienne féline à l’Université du Missouri, déclare au magazine Science : « Les recherches sur la couleur des chats ont révélé toutes sortes de phénomènes, y compris la façon dont l’environnement influence l’expression des gènes. Tout ce que vous devez savoir sur la génétique, vous pouvez l’apprendre de votre chat. » Une belle conclusion qui nous confirme donc que nous, humains, avons tout à apprendre de nos souverains, les chats.
Sur le papier, la Pixel Watch 2 de Google n’est pas parfaite. Ses bordures d’écran sont un peu trop épaisses, l’absence d’un grand format la rend incompatible avec certains poignets et la gestion des données sportives/médicales, qui se synchronisent avec l’application Fitbit, en font un produit moins réussi qu’une Apple Watch Series 9, par exemple. Pourtant, pour la première fois depuis une décennie, un constructeur Android a réussi à concevoir une montre connectée vraiment charmante. De quoi facilement fermer les yeux sur ces défauts. À 399 euros, la nouvelle Pixel Watch 2 est un objet connecté d’une qualité rare. Très mignonne, réactive, suffisamment endurante pour dépasser une journée d’utilisation et parfaitement intégrée à l’univers Android, elle permet à Google d’enfin honorer sa mission sur le marché des montres connectées, après un premier essai pas loin d’être désastreux. Il est rare qu’un constructeur se rattrape aussi bien après avoir raté son premier modèle, on ne peut donc qu’applaudir Google pour sa prouesse.