Description
Added on the 15/05/2014 10:30:02 - Copyright : Le Pacte
The Salt of the Earth / Le Sel de la Terre a film by Wim Wenders & Juliano Ribeiro Salgado -- Follow us on Facebook http://on.fb.me/cineartFB & Twitter http://bit.ly/NwJS0a
The Salt of the Earth - Le Sel de la Terre a film by Wim Wenders and Juliano Ribeiro Salgado http://www.cineart.be/fr/movie/le-sel-de-la-terre.aspx -- Follow us on Facebook http://on.fb.me/cineartFB & Twitter http://bit.ly/NwJS0a
Voici ce que verrait un alien dans son vaisseau spatial s'il recherchait la planète Terre !
Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! Cette vidéo provient de l’installation YOU:MATTER, créée par Marshmallow Laser Feast pour Bradford 2025 avec le National Science and Media Museum. L’œuvre s’appuie sur des données satellitaires réelles pour représenter les variations globales de photosynthèse, interprétées comme un « pouls » de la planète. Les satellites mesurent la fluorescence induite par le soleil (SIF), un signal lumineux émis par les plantes lorsqu’elles absorbent du CO₂. Associée aux indices de végétation obtenus en proche infrarouge, cette mesure permet de cartographier l’activité biologique terrestre et les dynamiques du cycle du carbone. Ces observations sont utilisées par des équipes de la NASA, de la NOAA, du JPL, de Caltech et d’autres centres. Les données proviennent notamment de GOSAT, OCO-2, OCO-3, PACE, Sentinel et de satellites météorologiques américains. Crédits visuels et conceptuels : Marshmallow Laser Feast / National Science and Media Museum / Bradford 2025. Données scientifiques : NASA / NOAA / JPL / Caltech / JAXA.
Et si le caca des manchots pouvait régler la crise climatique ? Non, non, ce n’est pas une blague : les excréments de manchot, appelé le guano, pourrait participer activement à la protection du climat. C’est ce que révèle une étude menée par des scientifiques de l’Université d’Helsinki. L’étude publiée le 22 mai dans la revue Nature, Communications Earth & Environment explique que le guano libère de l’ammoniac. En réagissant avec des gazs contenant du soufre, l’ammoniac peut accroitre la formation de nuage. Ces nuages agissent comme des couches isolantes, ce qui permet de réduire la température à la surface de la banquise et donc de freiner la fonte des glaces qui met en péril l’habitat de ces animaux. Pour étudier cet effet, les chercheurs ont mesuré la concentration d’ammoniac dans l’air d’un site proche de la base de Marambio en Antarctique entre janvier et mars 2023. Ils ont pu constater que lorsque le vent soufflait en direction d’une colonie de 60 000 manchots Adélie située quelques kilomètres plus loin, la concentration d’amoniac atteignait plus de 1000 fois la valeur de référence. Et même après la migration des manchots, cette concentration restait plus de 100 fois supérieur. Comme quoi, certains excréments peuvent être utile à la planète.