Description
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Le mystère autour d'un assasinat royal vieux de 753 ans a enfin été résolu grâce à la science !
Une toile d'araignées de 106 m2 et peuplée de plus de 111 000 arachnides a été découverte dans une grotte à la frontière entre la Grèce et l'Albanie ! ️
Ce robot, on le connaît bien : il s’agit d’Optimus, l’humanoïde développé par Tesla. À l’occasion de la sortie du nouveau film Tron, il s’est paré des couleurs du long-métrage avant de faire une démonstration spectaculaire de coups de pied sur le tapis rouge d’Hollywood — sous les yeux d’un Jared Leto, acteur principal, impassible… ou peut-être simplement confus. Si la scène peut sembler un peu inquiétante, les démonstrations d’arts martiaux sont en réalité un bon moyen de montrer les capacités d’un robot : son agilité, son équilibre, sa stabilité sur un pied ou encore la fluidité de ses mouvements. Un tel enchaînement demande d’ailleurs énormément de temps de développement. Ce n’est pas la première fois qu’un humanoïde se met au kung-fu : en mars dernier, Unitree — le grand rival chinois de Tesla — avait publié une vidéo de son propre robot exécutant des enchaînements similaires de coups de poing et de pied. Rassurez-vous cependant : ces robots ne sont pas encore capables de se battre seuls. Toutes ces démonstrations restent soigneusement préprogrammées. Mais maintenant qu’Optimus a trouvé un nouveau concurrent, on attend avec curiosité la rencontre entre le robot géant chinois et celui de Tesla.
Vous avez un lapin, une poule ou un cochon d’Inde en bonne santé que vous ne voulez plus ? Un zoo au Danemark vous propose de le récupérer pour nourrir ses prédateurs. Le zoo d’Aalborg accepte les dons d’animaux vivants – même des chevaux – pour nourrir lions, tigres ou lynx. Les petits animaux sont ensuite euthanasiés « en douceur » par du personnel formé. Selon le zoo, ces animaux font partie du régime naturel des carnivores, avec os, poils et tout le reste. Ils disent vouloir reproduire la chaîne alimentaire, comme dans la nature. Sur son site internet, sous une photo d’un tigre dévorant un morceau de viande, le zoo d’Aalborg détaille les conditions pour faire don d’un cheval. Pour être éligibles, les chevaux doivent posséder un passeport équin et ne pas avoir été traités pour une maladie au cours des 30 derniers jours. Et en bonus, vous pourriez obtenir une déduction fiscale. Banco. C’est une pratique assez courante au Danemark. Le zoo précise qu’il le fait depuis des années, et que certains visiteurs trouvent ça appréciable de pouvoir contribuer aux repas des prédateurs du zoo. Évidemment, ce procédé soulève un débat : est-ce une manière écologique de nourrir les animaux ou juste une pratique dérangeante et immorale
Il ou elle ne saura probablement jamais que c’est son mot de passe qui a ouvert la porte aux cybercriminels. La direction de KNP a fait ce choix : préserver l’employé concerné du poids psychologique d’une telle responsabilité. Dans un documentaire diffusé sur la BBC le 21 juillet 2025, Paul Abbott, directeur de KNP raconte cette histoire incroyable : un seul mot de passe, malheureusement trop faible, a suffi pour faire tomber cette entreprise vieille de plus d’un siècle et demi. L’identité de l’employé dont le mot de passe a été compromis n’a jamais été révélée, ni en interne, ni publiquement. « Vous voudriez savoir si c’était vous ? » interroge l’ex-patron. Depuis sa fondation en 1865, KNP Logistics, s’était imposée, à travers sa filiale Knights of Old, comme un acteur majeur du transport en Grande-Bretagne. Véritable pilier économique du Northamptonshire, au cœur de l’Angleterre, cette entreprise exploitait un parc de plus de 500 camions, reliant villes et régions à travers tout le pays. Une succes-story made in UK qui a vu son destin basculer brutalement en 2023, lorsqu’une attaque par ransomware paralyse son infrastructure informatique. En quelques mois, la société doit déposer le bilan, laissant 700 employés sans travail. « Si vous lisez ceci, cela signifie que l’infrastructure interne de votre entreprise est totalement ou partiellement morte… Gardons nos larmes et notre ressentiment pour nous et essayons d’engager un dialogue constructif. » Voici la note des hackers laissée à la direction de KNP. Appartenant au groupe cybercriminal Akira, les corbeaux virtuels paralysent l’ensemble des opérations de l’entreprise. Un ransomware s’empare des ordinateurs, chiffre les fichiers et paralyse jusqu’au moindre service logistique. L’activité est stoppée net et ne reprendra que si la direction met la main au portefeuille. KNP, n’a ni les moyens ni la certitude que payer ouvrirait réellement la voie au retour à la normale. Aucune somme précise n’est réclamée par les cybercriminels, mais d’après un cabinet spécialisé cité par la BBC, le montant aurait pu atteindre cinq millions de livres sterling. L’entreprise tente de se défendre et de restaurer ses systèmes, en vain. Le chrono tourne et la situation empire. KNP ne peut plus servir ses clients, ses partenaires perdent confiance et la trésorerie s’effondre. Le 25 septembre 2023, après trois mois de paralysie et de tentatives de sauvetage, la société doit se résoudre à déposer le bilan. KNP n’est pas un cas isolé. Selon les chiffres du National Cyber Security Centre (NCSC), des milliers d’entreprises britanniques sont ciblées chaque année par ce type d’attaque et il n’a jamais été aussi facile de lancer une attaque. Certains ransomwares sont accessibles à la location et les premières failles sont presque toujours humaines. Comment enrayer le phénomène ? Peut-être en rendant le business du ransomware moins lucratif. Dernièrement, le gouvernement britannique réfléchit à interdire le paiement des rançons et à rendre la déclaration d’attaque obligatoire dans le but de casser le modèle économique des cybercriminels.