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Added on the 19/08/2010 19:39:17 - Copyright : Le Progrès
Selon Christophe Galtier, le premier stage de reprise de l'ASSE au Chambon-sur-Lignon s'est déroulé dans "un bon esprit". En revanche, du côté des transferts, la situation est plus inquiétante. Emmanuel Rivière a fait connaître sa volonté de partir pour Toulouse et l'avenir de Blaise Matuidi chez les Verts est incertain. Une situation peu confortable pour l'entraîneur stéphanois même si beaucoup de clubs sont dans le même cas.Reportage: Damien Lepetitgaland
Après l’élimination de la Coupe de France face à Clermont et l’occasion ratée de ramener trois points de Lens. Le début de l’année 2011 a mal débuté pour l’ASSE. Pour autant, il n’y a pas le feu dans la maison verte qui pointe à la 8ème place du championnat de Ligue 1.Pour préparer un mois de février difficile, vendredi soir à Valence, l’AS Saint-Etienne rencontrera Monaco en match amical. Une occasion intéressante pour Christophe Galtier de donner du temps de jeu à Boubacar Sanago qui fait, petit à petit son retour, mais pas seulement.Les joueurs stéphanois ont bien l’intention de faire oublier vite leurs deux dernières contreperformances et aller de l’avant.Blaise Matuidi est impatient de jouer les grosses cylindrées programmées en février avec notamment l'OL. Des rencontres excitantes selon le capitaine stéphanois.Reportage: Damien Lepetitgaland
Leaders de la Ligue 1, les Stéphanois se sont qualifiés mercredi soir pour les 8e de finale de la Coupe de la Ligue grâce à leur victoire sur Nice (2-0). A trois jours du derby à Gerland, tous les voyants sont désormais au vert pour espérer mettre fin à une disette de plus de 15 ans dans le choc face au voisin lyonnais. Réactions d'après match des Verts qui ont déjà la tête à Lyon.Reportage: Damien Lepetitgaland
L’AS Saint-Etienne se déplace samedi à Toulouse, chez le leader du championnat qui a fait carton plein avec 4 victoires en 4 rencontres. Un déplacement compliqué pour les Verts. Si la maison rose a perdu durant cet été André-Pierre Gignac parti à Marseille, il semble que le collectif toulousain en sorte renforcé. Christophe Galtier est bien conscient du challenge à relever mais part sans complexe.L’entraîneur Stéphanois mise beaucoup sur le poids qui pèse sur les frêles épaules d’une équipe toulousaine au début de parcours surprenant.il pourra compter sur ses hommes en forme dont Blaise Matuidi qui a fait une 1ère rentre réussie au sein des Bleus face à la Bosnie.L’ouverture au niveau internantionale de Matuidi devrait apporter au moins autant que l’expérience de Laurent Batles en Ligue 1. A bientôt 35 ans, il connait bien toutes les équipes du championnat et en particulier le TFC dans le lequel il a été formé. "Comme ils sont partis en ce début de saison, je ne leur trouve pas de défauts" souligne le milieu stéphanois. Les Verts sont prévenus!Reportage: Damien Lepetitgaland
L’accessoire indispensable du soldat en Ukraine aujourd’hui, c’est le mini-drone. Que ce soit du côté ukrainien ou russe, ces engins sont désormais produits par millions chaque année, et rien que sur le front, plus d’une centaine de drones tombent chaque jour. On parle ici de modèles bon marché, fabriqués à partir de composants chinois, et utilisés pour tout un tas de missions : Reconnaissance, pour inspecter une zone. Renseignement, pour récupérer des données et guider l’artillerie. Attaque, soit en larguant des explosifs, soit en mode suicide, une méthode qui s’est largement imposée depuis 2023 grâce aux évolutions technologiques. Certains crachent même du feu, oui oui : sur ces images, on voit des drones avec munitions dites thermites, fortement incendiaires, qui atteignent les 2500 degrés pour aller nettoyer une tranchée on va dire. Et parmi ces évolutions, il y en a une qui a tout changé : le pilotage en vue subjective, ou FPV. Avec un simple masque, le pilote voit exactement ce que voit son drone, ce qui permet des attaques ultra-précises, notamment sur des points faibles comme la tourelle des chars russes, connue pour être leur talon d’Achille. Les drones FPV sont devenus une arme de référence dans le conflit… jusqu’à récemment. Parce qu’encore une fois, une nouvelle technologie est en train de changer la donne : la fibre optique. Alors, pourquoi la fibre optique ? En gros, elle utilise des fils ultra-fins en verre ou en plastique pour faire circuler l’information à la vitesse de la lumière. Résultat : une connexion hyper rapide, ultra stable et impossible à brouiller. Et sur le champ de bataille, c’est un énorme avantage. Le plus surprenant, c’est que ce câble peut être déroulé sur plusieurs kilomètres et qu’il est assez résistant pour ne pas se couper au moindre obstacle. Ça permet de piloter un drone armé sans aucun risque de brouillage. Sauf que… certains soldats ukrainiens ont déjà trouvé une parade : il leur suffit de suivre le fil pour remonter directement jusqu’à la base russe. Mais attention, dans le ciel, il n’y a pas que des petits drones du commerce. Il y a aussi des dizaines de modèles militaires conçus spécialement pour la guerre. Côté russe, on retrouve par exemple les Orlan, des drones de surveillance, ou encore les Lancet, des drones kamikazes très présents sur le front. Côté ukrainien, les États-Unis fournissent des Switchblade, des drones suicides miniatures qui frappent à très courte portée.