Description
Added on the 24/11/2023 12:55:27 - Copyright : France 24 EN
On the final leg of a state visit to Kenya, Queen Camilla visits the Situation Room, which provides services for survivors of sexual and gender based violence. She is shown survivor kits that provide personal and hygiene items and hears about the kinds of therapy provided to victims. Before leaving, Camilla is presented with a Kanga (a Swahili shawl). IMAGES
French Justice Minister Eric Dupond-Moretti attends the launch of a new 'anti-proximity' bracelet. This device, which resembles an electronic bracelet and is attached to the ankle, allows violent spouses or ex-spouses to be geo-located and triggers an alert system when they approach their victim. IMAGES
Around a thousand firefighters demonstrate in Strasbourg to protest against the violence they are subjected to on a regular basis. They denounce an increase in acts of incivility, accompanied by physical and verbal abuse. It follows a New Year period marred by attacks on firemen during call-outs. IMAGES
The lights of the Eiffel Tower are switched off for one minute at midnight to mark the International Day for the Elimination of Violence against Women. IMAGES
French government ministers arrive at Matignon for Prime Minister Edouard Philippe's presentation of some fifty concrete measures at the end of a consultation period launched in September to find solutions to combat domestic violence and femicide. IMAGES
Dès le premier épisode de sa saison 7, Black Mirror a frappé très fort avec une histoire coup de poing, autour d’un couple confronté à la maladie. Mike décide alors de sauver la vie d’Amanda en acceptant un programme révolutionnaire : Rivermind, capable de remplacer des tumeurs au cerveau par du tissu synthétique, pour permettre aux patients de retrouver une existence normale. Une technologie bénéfique au premier abord, qui prend un tournant glaçant lorsqu’un système d’abonnement demande de plus en plus d’énergie et d’argent à Mike et Amanda… Pourtant, un tel dispositif est loin de la réalité pour Valentin Wyart : « On n’a pas du tout les technologies nécessaires aujourd’hui pour prendre l’empreinte d’une région du cerveau. Cela représente énormément de neurones et de connexions synaptiques. » Si des implants cérébraux existent déjà, ils restent beaucoup plus simples que les dispositifs évoqués dans l’épisode 1, et notamment les publicités déclamées par Amanda : « Des entreprises comme Neuralink, dirigée par Elon Musk, font des recherches au niveau du cortex moteur. Si on le stimule, on peut théoriquement produire des mouvements chez vous, chez moi ou chez un animal qu’on aurait implanté. Mais cela donnerait l’impression d’être contrôlé par une entité extérieure. Et on pourrait peut-être faire bouger une souris dans une direction particulière, mais c’est bien le maximum qu’on pourrait faire. Il faut bien comprendre qu’une technologie qui fonctionne déjà à un niveau très simple ne pourrait pas nécessairement être améliorée dans le futur. » Valentin Wyart est donc clair sur les dispositifs mis en place dans Des gens ordinaires : « Cette technologie, je pense, n’existera jamais. Et heureusement ». Vous pouvez dormir tranquilles.