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Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! La cérémonie des Game Awards 2025 s'est déroulée le 11 décembre et c'était un carton plein pour le jeu français Clair Obscur : Expedition 33. Il remporte 9 récompenses, un record, dont le jeu de l'année/le GOTY. __ #goty #clairobscur #gaming #videogame #numerama
Un mystérieux bâtiment en Chine serait devenu l’étape finale où atterrissent de nombreux téléphones portables volés à travers le monde. Imaginons que l’on me vole mon téléphone : pour ceux qui ne connaissent pas bien Apple, « Find My » est une fonctionnalité très pratique. Elle permet de localiser vos appareils Apple — AirPods, AirTag, Mac ou iPhone — et, dès que l’appareil est rallumé, d’afficher sa position sur une carte. Ces derniers mois, une grande partie des téléphones volés en Europe et en Amérique du Nord ont réapparu en suivant deux étapes récurrentes. Depuis Paris, par exemple, mon téléphone peut faire une escale à Hong Kong — soit environ 9 600 kilomètres — puis se retrouver ailleurs en Chine, plus précisément dans la ville de Shenzhen. Grâce à « Find My », il est parfois possible d’identifier l’emplacement précis : bienvenue dans la « tour iPhone », aussi connue sous le nom de Feyang Times Building. Il s’agit d’un immense complexe où l’on trouve toutes sortes de pièces détachées pour iPhone. Selon plusieurs témoignages de visiteurs, on y voit aussi des téléphones exposés et vendus, parfois toujours verrouillés. Reste à comprendre comment ces appareils ont atterri dans ces vitrines. D’après un ingénieur interrogé par NBC News, des systèmes comme « Find My » et d’autres dispositifs de blocage à distance rendent la revente de téléphones volés de plus en plus compliquée. Face à cela, les voleurs se tournent vers le marché chinois, où l’appétence pour les téléphones prime, quelles que soient leurs conditions. Si mon téléphone finit à Shenzhen, deux scénarios sont possibles : soit il est revendu en l’état à un acheteur indifférent au verrouillage, soit il est démonté pour que ses composants soient revendus séparément.
Retrouvez la réaction de l'attaquant du GF38 Alan Kérouédan après la défaite de Grenoble face au Servette FC (0-1) pour son premier match de préparation.
Retrouvez la réaction de l'entraîneur du GF38 Franck Rizzetto après la courte défaite de son équipe face au Servette FC ce samedi 12 juillet 2025 pour le premier match de préparation de Grenoble.
Cela fait maintenant un peu plus d’une semaine que la Nintendo Switch 2 est disponible — avec déjà un record pour le lancement. Ce qui veut dire que cela fait aussi un peu plus d’une semaine que les fans de la marque enchaînent les courses dans Mario Kart World, afin de débloquer des récompenses (des personnages, par exemple). Et, très, vite, certains ont mis en avant l’existence d’un mode miroir. Il y a toutefois une confusion sur la marche à suivre pour accéder au mode miroir de Mario Kart World. Sur internet, on peut lire tout et son contraire sur les conditions requises pour débloquer les courses inversées. Certains pensent qu’il suffit de terminer les grands prix en difficulté 150cc (en obtenant trois étoiles !), d’autres qu’il faut ramasser des objets spécifiques ou encore terminer plusieurs missions en balade. Nintendo a fini par dévoiler la méthode infaillible. Dans un mail envoyé à des joueuses et des joueurs, notamment partagé par NintendHome le 12 juin 2025 sur X, Nintendo explique ce qu’il faut faire pour débloquer le mode miroir — bien présent, contrairement au mode 200cc. Dès lors, il faut : - Trouver 10 panneaux marqués d’un point d’interrogation ; - Trouver 10 médailles Peach ; - Réussir 10 missions interrupteurs P ; - Arriver au bout de chaque coupe 150cc et Rallye (sans besoin de terminer premier). On remarquera que Mario Kart World oblige autant à rouler dans les courses classiques (les grands prix) que dans le monde ouvert (balade), sans oublier le mode survie. Ce qui permet de mettre en avant toutes les forces de cet épisode exclusif à la Nintendo Switch 2. Très apprécié des férus de la saga Mario Kart, le mode miroir inverse les tracés sur un plan horizontal : ce qui veut dire que ce qui se trouve habituellement à gauche est désormais à droite (et inversement), les virages en tête. Cela permet de doubler artificiellement le nombre de circuits et de forcer les joueuses et les joueurs à apprendre de nouveaux réflexes. Une spécificité qui peut s’avérer complexe quand on sait que la mémoire musculaire peut nous jouer des tours, surtout dans l’urgence d’une course à remporter.
Dès le premier épisode de sa saison 7, Black Mirror a frappé très fort avec une histoire coup de poing, autour d’un couple confronté à la maladie. Mike décide alors de sauver la vie d’Amanda en acceptant un programme révolutionnaire : Rivermind, capable de remplacer des tumeurs au cerveau par du tissu synthétique, pour permettre aux patients de retrouver une existence normale. Une technologie bénéfique au premier abord, qui prend un tournant glaçant lorsqu’un système d’abonnement demande de plus en plus d’énergie et d’argent à Mike et Amanda… Pourtant, un tel dispositif est loin de la réalité pour Valentin Wyart : « On n’a pas du tout les technologies nécessaires aujourd’hui pour prendre l’empreinte d’une région du cerveau. Cela représente énormément de neurones et de connexions synaptiques. » Si des implants cérébraux existent déjà, ils restent beaucoup plus simples que les dispositifs évoqués dans l’épisode 1, et notamment les publicités déclamées par Amanda : « Des entreprises comme Neuralink, dirigée par Elon Musk, font des recherches au niveau du cortex moteur. Si on le stimule, on peut théoriquement produire des mouvements chez vous, chez moi ou chez un animal qu’on aurait implanté. Mais cela donnerait l’impression d’être contrôlé par une entité extérieure. Et on pourrait peut-être faire bouger une souris dans une direction particulière, mais c’est bien le maximum qu’on pourrait faire. Il faut bien comprendre qu’une technologie qui fonctionne déjà à un niveau très simple ne pourrait pas nécessairement être améliorée dans le futur. » Valentin Wyart est donc clair sur les dispositifs mis en place dans Des gens ordinaires : « Cette technologie, je pense, n’existera jamais. Et heureusement ». Vous pouvez dormir tranquilles.