Description
Added on the 19/01/2022 19:09:03 - Copyright : AFP EN
A decade after Sierra Leone's civil war, former persecutors and their victims are learning to live together. To escape the fighting, a third of the population had fled to Freetown. Today, more than one million people live there, most of them in slums, where a cholera epidemic is claiming more victims every day.
US President Donald Trump says it's time to end Syria's "brutal" civil war, and called on NATO allies to "work together to resolve the disaster" in the war-wracked country. SOUNDBITE
Selon les agences de presse russe, l’autocrate syrien Bachar al-Assad serait arrivé en Russie après la chute de son régime. Plusieurs avions ont été localisés dans le ciel syrien, avec des trajets suspects, qui ont fait émerger de nombreuses théories. Où est Bachar al-Assad ? Selon les premières déclarations du côté russe, le dictateur syrien déchu après la chute de Damas, serait arrivé à Moscou, accompagné de sa famille. La Russie aurait offert l’asile au président déchu pour des « raisons humanitaires », à en croire la presse d’État. Toutefois, aucune image de ses premiers pas à Moscou n’a été diffusée. Une rumeur faisant état d’un crash d’avion a même émergé après un suivi aérien suspect. Tout part d’un avion cargo Ilyushin Il-76T de la Syrian Air, qui prend son envol le 7 décembre, à 03 h 59 heure locale, vers une destination non précisée. D’après les données de Flightradar24, un site spécialisé dans le suivi des avions, l’appareil a initialement pris la direction de la côte méditerranéenne, vers un bastion de la communauté alaouite à laquelle appartient la famille Assad. Deux centres militaires russes majeurs y sont situés : la base aérienne de Hmeimim et la base navale de Tartous. Cependant, après avoir survolé la ville de Homs au milieu du pays, l’avion a fait demi-tour et a commencé à voler de nouveau vers l’est tout en perdant de l’altitude. Le signal a été perdu aux alentours de 04h39, lorsque l’appareil se trouvait à environ 13 km à l’ouest de Homs, à une altitude de seulement 1 625 pieds (495 m). La basse altitude a laissé croire que l’avion pourrait avoir atterri, ou subi un crash. Les circonstances précises de la perte du signal restent floues, mais Flightradar24 a précisé que l’avion était un modèle ancien, équipé d’un transpondeur de génération plus ancienne, ce qui pourrait expliquer des données incorrectes ou manquantes. De plus, l’appareil volait dans une zone soumise à un brouillage GPS, ce qui pourrait également affecter la qualité des informations. Le traqueur n’a pas non plus relevé d’aéroport dans la zone où le signal a été perdu, et aucune information n’a été donnée sur un éventuel crash. Flightradar24 a aussi rapporté qu’un avion militaire russe avait décollé dimanche de l’aéroport international de Lattaquié, à proximité de Hmeimim, avant de se rendre à Moscou. À nouveau, l’identité des passagers à bord reste inconnue. Un autre vol a attiré la curiosité des experts en sources ouvertes. Un jet Embraer Legacy 600, parti d’Abou Dhabi le soir du 7 décembre pour Homs, avant de redécoller plusieurs heures plus tard et revenir à Abou Dhabi, où il s’est posé avant 9h. Rappelons que rien n’indique que ces avions transportaient l’autocrate syrien. Si ce dernier est à Moscou, il sera probablement préservé et caché par le régime russe.
NATO forces cross the Vistula River at Korzeniewo in Poland as part of the US-led defence alliance's Exercise Dragon 24, involving around 4,500 soldiers and almost 1,000 vehicles. Dragon 24 is itself part of Exercise Steadfast Defender 24, NATO's largest military exercise since the Cold War, which is designed to test its defences in the face of Russia's war on Ukraine. IMAGES
The Colosseum turns yellow and blue in sign of solidarity with Ukraine on the second anniversary of Moscow's invasion, as fears mount about Kyiv's ability to fend off an emboldened Russia. IMAGES
Une course effrénée à travers une Amérique fracturée qui, dans un futur proche, est plus que jamais sur le fil du rasoir.