Description
Added on the 15/10/2014 20:34:06 - Copyright : DIYFashion
Les concepts fous de Hyundai au salon IAA de Munich !
Squid Game est loin d’être une comédie. Pourtant, depuis ses débuts, en 2021, un élément en particulier amuse les fans : le jeu très étrange des VIPs, devenu une blague virale sur les réseaux sociaux. Ces personnages, totalement malsains, ont même été comparés à Elon Musk par le créateur de la série, Hwang Dong-hyuk. Alors que la saison 3 cartonne actuellement sur Netflix depuis sa sortie, le 27 juin 2025, le débat autour des dialogues de ces antagonistes maléfiques a ressurgi. L’occasion pour Bryan Bucco, l’un des comédiens derrière ces masques, d’intervenir pour rétablir la vérité et nous offrir, enfin, des réponses sur le sujet. Le 30 juin 2025, Bryan Bucco, qui se trouve derrière le masque en forme d’aigle, a ainsi réagi à une vidéo parodique — elle critiquait justement le jeu désastreux des VIPs dans le drama coréen. Il a alors révélé qu’en version originale, les acteurs anglophones étaient en réalité redoublés… en anglais. Ce n’est donc pas sa voix que l’on entend dans les séquences mettant en scène ces voyeurs capitalistes, comme il l’a expliqué dans les commentaires. Pour autant, il estime que la version coréenne ne devrait pas avoir de doublage supplémentaire : « S’il y en a un, c’est probablement à cause de certaines lignes de dialogues spécifiques qui ont été réenregistrées pour davantage de clarté. » Le problème, c’est que les doublages manquent clairement de finesse et sont plutôt ridicules, comme si les acteurs n’arrivaient pas à bien jouer. Les dialogues, eux, ne sont pas non plus extrêmement convaincants. Pour Bryan Bucco, certaines voix semblent « davantage modifiées que d’autres », mais globalement, « on dirait qu’ils ont utilisé la voix de comédiens de doublage pour tenter de nous ressembler. Je ne veux même pas dénigrer mon doubleur parce que je pense qu’il a fait ce qu’il a pu. Je suis sûr que ce n’était pas non plus facile pour lui de réciter ces dialogues. » L’acteur a ainsi admis qu’avec les autres interprètes des VIPs, ils s’étaient longuement interrogés sur le script : « Chaque nuit, nous étions assis ensemble à lire les dialogues, en nous demandant s’ils devaient vraiment être dits. » Il reconnaît aussi que l’arc narratif autour des VIPs aurait pu être encore plus approfondi ou mieux écrit, regrettant que ces personnages soient globalement « inutiles ». Malgré tout, il reste plutôt satisfait d’avoir pu participer à Squid Game, à son échelle. Il décrit ainsi une « belle expérience » : « Tout le monde était très sympa, du casting à l’équipe de tournage. Nos scènes étaient toujours les dernières à être exécutées. Cela signifie qu’aucun autre acteur principal n’était là, à l’exception du Front Man. Nous avons tourné pendant seulement 3 jours, mais c’était une pause sympathique au milieu des études et du travail. »
C’est l’idée de génie de Hwang Dong-hyuk, à la base du concept de Squid Game : imaginer une dystopie dans laquelle les participants jouent leur survie, lors d’une série de jeux réminiscents de notre enfance. Quand un joueur perd, ce n’est pas seulement le jeu, mais carrément sa vie. Si certains d’entre eux sont spécifiques à la culture coréenne, la plupart des jeux se déclinent dans des versions familières aux enfants du monde entier, permettant à tout le monde de s’identifier aux participants, durant les trois saisons de Squid Game. Mais quels sont les jeux les mieux exploités dans le show ? C’est parti pour le classement ultime des épreuves du jeu du calamar !
Il y a de ces modèles qui façonnent l’histoire d’un constructeur automobile. Chez Renault, ils sont nombreux, mais un en particulier a marqué son époque : la R5 Turbo de 1980. Cette version extrême de la très sage Renault 5 se dotait d’un turbocompresseur pour gonfler sa puissance à 160 ch, offrant des performances sensationnelle à l’époque. Un peu plus de 40 ans plus tard, en 2022, Renault présentait le concept délirant R5 Turbo 3E qu’on aurait cru tout droit sorti d’un jeu-vidéo. Depuis, le patron du groupe Luca De Meo avait en tête d’en faire un vrai modèle de série homologué pour la route. Complètement fou n’est-il pas ? Eh bien Renault va vraiment le faire ! Le PDG lui-même l’avait officialisé à la fin du documentaire sur le come-back de Renault. À l’image de son aïeule et sa technologie turbo en plein essor, la R5 Turbo 3E entend bien révolutionner la propulsion électrique. Nous avons pu découvrir la maquette de cette « mini-supercar » en avant-première à l’usine historique de Flins, dans les Yvelines (78). Renault annonce que le modèle de série lui sera fidèle à 95 %, comme l’a été la R5 E-Tech. Après nous avoir proposé un voyage dans le temps avec les modèles originels accompagnés de leurs versions de course puis le concept de 2022, Renault nous a conduits dans la salle finale où, derrière une fine brume, se cachait la Turbo électrique. Je suis resté tout simplement bouche bée face à ce monstre vêtu de jaune et de blanc, une livrée hommage à la R5 Turbo Tour de Corse (on y reviendra). Quelle gueule ! La sportive en impose et ses dimensions étonnantes le prouvent puisque la Turbo 3E mesure 2,03 m de large. C’est 22 cm de plus qu’une R5 normale. En longueur, la sportive gagne presque 16 cm. Démentiel. La face avant est encore plus néo-rétro que la version de base et reprend le museau carré du modèle originel, que ce soit au niveau du capot ou des projecteurs. Le bouclier proéminent est massif et fait un clin d’œil au passé avec ses trois ouïes sous le logo vintage. Tout a été pensé pour l’optimisation des flux d’air, à la fois pour l’appui aérodynamique, mais aussi pour le refroidissement des éléments de la voiture. Le milieu du capot accueille, par exemple, un énorme extracteur d’air, tandis que les ailes élargies à l’avant laissent s’échapper le flux en provenance des roues. Celui-ci s’écoule le long de la carrosserie et vient s’engouffrer dans les deux prises d’air de part et d’autre de la caisse, comme à l’époque. Ma partie préférée est sans aucun doute l’arrière, où le look bodybuildé de la Turbo 3E prend tout son sens. La voiture parait encore plus large avec des hanches carrées et un diffuseur rallongé. Le hayon gagne une arête noire frappée d’une inscription Renault en relief et du fameux « 5 ». Certains seraient tentés de dire que la Renault Turbo 3E n’est qu’une « simple » R5 sous stéroïdes. C’est bien plus complexe que ça. La Turbo est au final presque une voiture totalement différente. En effet, seulement quatre pièces sont communes avec la R5 E-Tech : les rétroviseurs, les poignées de portes quand il y en aura, le pare-brise (légèrement reculé) et bien sûr les feux arrière. La Turbo 3E repose sur un châssis en aluminium conçu spécialement pour elle par les ingénieurs d’Alpine et la carrosserie est en fibre de carbone. Pour Renault, « le but était de mettre au point un véhicule le plus léger possible, afin qu’il soit le plus agile et le plus performant possible ». Car oui, la R5 Turbo électrique affiche une fiche technique exceptionnelle digne d’une supercar : 540 ch (2 x 200 kW) et 4 800 Nm de couple 0 à 100 km/h : moins de 3,5 secondes 0 à 200 km/h : moins de 9 secondes 1 450 kg Vitesse max : 270 km/h a Turbo 3E est une pure propulsion, équipée de deux moteurs… dans les roues arrière ! Une première mondiale. Cette technologie permet de se passer de cardans entre les moteurs et les roues, offrant une meilleure restitution de la puissance. Les roues de 20 pouces chausse des gommes sport de 245 mm de large à l’avant, tandis que l’arrière grimpe à 275 mm pour faire passer la cavalerie au sol. En plus des caractéristiques d’une supercar, la Renault 5 Turbo 3E adopte des technologies électriques de pointe. La citadine ultra-sportive est le premier modèle du constructeur à posséder une architecture 800 V. Résultat, la recharge de 15 à 80 % se fait en seulement 15 minutes à une puissance maximale de 350 kW sur borne rapide. Idéal pour faire le plein entre deux sessions sur circuit. L’alimentation est assurée par une inédite batterie NMC (nickel-manganèse-cobalt) de 70 kWh. Conçue pour la piste, elle gère mieux sa température afin de pouvoir enchaîner les tours sans surchauffe. En utilisation normale, Renault promet plus de 400 km d’autonomie en cycle WLTP.
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