Description
Added on the 19/02/2018 12:04:53 - Copyright : Nasa
Depuis le 15 janvier 2025, le vaisseau Blue Ghost effectue son voyage vers la Lune. Le but est de déployer des instruments, de mener différentes études sur la Lune et de prendre des photos de la Terre. De premiers clichés incroyables ont justement été obtenus lors du voyage de la sonde vers la Lune.
Un groupe de dauphins a été vu nageant près de la capsule de Crew-9 après son amerrissage au large de Tallahassee, en Floride. Cette capsule transportait les astronautes Sunita Williams et Barry Wilmore, enfin rentré·es sur Terre après des mois coincé·es à bord de l’ISS. C'est une capsule Crew Dragon de SpaceX qui a pu les ramener. C’est la fin de la longue errance pour Sunita Williams et Barry Wilmore. Les deux astronautes américains coincés dans la Station spatiale internationale (ISS) depuis plus de neuf mois sont enfin rentrés sur Terre, grâce à une capsule affrétée par SpaceX. Celle-ci a correctement amerri au large des côtes de Floride dans la soirée du 19 mars (heure de Paris). Le véhicule a par ailleurs ramené deux autres astronautes, Nick Hague et Alexandre Gorbounov, qui achèvent ainsi leur déploiement de six mois dans l’ISS, dans le cadre de la mission Crew-9. Prochaine étape pour les quatre passagers : se réhabituer à la gravité terrestre, après un très long séjour en microgravité. La mission de SpaceX en résumé Quoi ? Le retour des deux « naufragés » de l’ISS, ainsi que de deux astronautes qui participaient à la mission Crew-9 ; Quand ? Le 18 mars 2025, en début de soirée (heure de Paris) ; Où ? Au large des côtes de la Floride, dans le golfe du Mexique, et sur la chaîne de la Nasa ; Que verra-t-on ? L’amerrissage de la capsule Crew Dragon de SpaceX, après sa rentrée atmosphérique. Suivez l’amerrissage des astronautes en direct Il sera possible d’assister en direct au retour des quatre astronautes grâce à la chaîne YouTube de la Nasa. Il vous suffit de lancer directement la vidéo intégrée ci-dessous. Quelle est la mission ? SpaceX mène ici une mission classique : ramener des astronautes sur Terre, après leur séjour dans la Station spatiale internationale (ISS). L’opération, d’ailleurs, est en cours : la capsule s’est désarrimée de la station, avec les quatre astronautes à bord. Elle manœuvre désormais en prévision de sa rentrée atmosphérique. À bord de la capsule, on trouve donc Sunita Williams et Barry Wilmore, partis en juin dernier et qui ne devaient rester dans l’ISS qu’une semaine — jusqu’à ce que les déboires de leur capsule Starliner, fabriquée par Boeing, poussent la Nasa à annuler le vol de retour. Starliner est donc rentrée sans personne à bord, après quelques jours. L’engin accueille également Nick Hague et Alexandre Gorbounov, qui font partie de la mission Crew-9. Eux bouclent un séjour long de six mois à bord de l’ISS. C’est d’ailleurs avec leur capsule, qui était arrimée depuis la fin du mois de septembre, que tout le monde repart. Leur équipage, qui devait compter quatre membres, a été réduit à deux. Cette décision a été prise en raison des soucis du Starliner. Pour permettre à Sunita Williams et Barry Wilmore de rentrer, il a fallu libérer deux sièges sur un vol. C’est donc à l’occasion des relèves entre Crew-9 et Crew-10 (qui est arrivé mi-mars) que ce rapatriement est organisé. Ce plan, décidé il y a des mois, vise aussi à perturber le moins possible l’ISS. La date du retour de Sunita Williams et Barry Wilmore Le retour des astronautes sur Terre est attendu dans la soirée du 18 mars. L’amerrissage final doit avoir lieu à 22h57 (heure de Paris). Les opérations de récupération de la capsule et d’extraction des astronautes devraient prendre encore une heure.
Des étoiles filantes visibles en France la nuit du 8 au 9 octobre ! Ça sera le pic des Draconides, une pluie de météores plutôt imprévisibles. Il faut profiter de son pic pour essayer de voir un maximum d’étoiles filantes. En 2024, nous avons de la chance : le croissant de Lune ne posera aucun souci d’observation, et il se couche à 21h29, donc le ciel sera bien sombre pour observer les étoiles filantes… encore faut-il que les nuages ne soient pas invités. Le radiant des Draconides est situé près des étoiles Eltanin et Rastaban, connues sous le nom de « Yeux du Dragon » dans la constellation du Dragon. Celle-ci se trouve au dessus de la Grande Ourse. Mais, il n'est pas obligatoire de fixer le radiant directement – il est même recommandé de ne pas le faire, car plus un météore est proche du radiant, plus sa trainée est courte. Pour profiter au mieux des Draconides, il suffit de s’éloigner de la pollution lumineuse, lever les yeux vers le ciel et faire preuve de patience.
L’étoile de Barnard est l’étoile individuelle la plus proche du Système solaire. Une planète vient d’être confirmée en orbite de celle-ci : Barnard b. Quand on pense au système stellaire le plus proche de la Terre, on mentionne Alpha du Centaure. Cependant, il s’agit en réalité d’un groupe de trois étoiles. L’étoile individuelle la plus proche de la Terre est l’étoile de Barnard (toutefois invisible à l’œil nu, car peu lumineuse). Elle se situe à 6 années-lumière de nous. Jusqu’à présent, aucune exoplanète n’avait été détectée autour d’elle, même si les scientifiques étaient persuadés qu’il y en avait au moins une. Grâce aux performances exceptionnelles du Very Large Telescope (VLT), et des observations attentives pendant cinq ans, une planète a finalement été découverte en orbite autour de Barnard. Une étude de celle-ci, nommée Barnard b, vient d’être publiée ce mardi 1er octobre dans la revue Astronomy & Astrophysics. Les recherches se sont, comme souvent, portées sur la zone d’habitabilité. Celle-ci ne correspond pas forcément à une zone où l’on pourrait trouver de la vie, mais plutôt à une zone ayant des conditions telles que les planètes qui s’y trouvent peuvent ressembler à la Terre. En somme, avec de l’eau liquide — mais pas bouillante pour autant. L’étoile de Barnard est une naine rouge. Cela signifie qu’elle est moins massive que notre Soleil. De fait, détecter des planètes autour d’elle est plus « facile » pour les astronomes. En l’occurrence, ils ont utilisé l’outil ESPRESSO : grâce à lui, on détecte la présence de planètes grâce à l’oscillation que leur attraction gravitationnelle cause sur l’étoile. Que sait-on sur Barnard b ? Elle tourne en 3,15 jours autour de son étoile. Le reste, ce sont essentiellement des mauvaises nouvelles quant à son habitabilité. En effet, sa température de surface atteint 125 degrés Celsius. Elle est encore plus proche de son soleil que ne l’est Mercure. D’ailleurs, l’eau ne peut même pas y être liquide… « Barnard b est l’une des exoplanètes les moins massives connues et l’une des rares dont la masse est inférieure à celle de la Terre », explique l’astrophysicien Jonay González Hernández. « Mais la planète est trop proche de l’étoile hôte, plus proche que la zone habitable. Même si l’étoile est plus froide que notre soleil d’environ 2 500 degrés, il y fait trop chaud pour maintenir de l’eau liquide à la surface. » « Mais la découverte de cette planète, ainsi que d’autres découvertes antérieures telles que Proxima b et d, montre que notre arrière-cour cosmique est pleine de planètes de faible masse », précise le chercheur Alejandro Suárez Mascareño, co-auteur de l’étude. Malgré le profil défavorable de Barnard b, les scientifiques ne s’avouent pas vaincus pour autant. Il y a probablement d’autres planètes autour de Barnard. Ils ont d’ailleurs trouvé des éléments en faveur de la présence de trois autres planètes. L’observation continue pour tenter de confirmer leur existence.
Aerial images of Hillside Endarasha Academy, in central Kenya, where at least 17 young children have been killed in a fire that ripped through the primary school's dormitory overnight. IMAGES