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Added on the 12/11/2019 14:17:55 - Copyright : BANG Showbiz
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D’ici l’année 2030, Meta pense pouvoir révolutionner l’informatique avec des lunettes de réalité augmentée. Le géant des réseaux sociaux, qui a présenté son prototype Orion en 2024, est convaincu que nous pourrons bientôt ajouter des éléments virtuels à notre vision. Son prototype embarque deux écrans transparents, des capacités de suivi du regard et utilise un boîtier externe pour délocaliser sa puissance, ce qui lui permet d’émuler une sorte d’Apple Vision Pro dans des lunettes de vue. Le problème est qu’il n’est pas encore prêt, ce qui ne fait pas les affaires de Meta. Le 30 septembre, Meta commercialisera une sorte de précurseur des Orion. Les Meta Ray-Ban Display, qui prennent la forme de Ray-Ban Meta un peu plus épaisses, embarquent un petit écran dans l’œil droit et se pilotent à l’aide d’un bracelet neuronal (et avec la voix, pour parler à l’assistant Meta AI). Numerama a essayé les Meta Ray-Ban Display en avant-première : voici notre avis sur les lunettes qui offrent un avant-goût d’un futur que l’on ne pensait pas aussi imminent. Les Meta Ray-Ban Display ressemblent beaucoup aux Ray-Ban Meta. La principale différence esthétique entre les deux lunettes est la présence de bordures plus épaisses, qui sont nécessaires pour embarquer des composants technologiques supplémentaires et une plus grande batterie. Meta, que les rumeurs suspectaient de vouloir lancer ses propres lunettes sans partenariat sur le design, fait le pari de rester avec Ray-Ban. Une stratégie qui vise à améliorer l’acceptabilité des ordinateur-lunettes, que les premiers acheteurs pourront porter incognito. Dans le verre droit des Meta Ray-Ban Display, les plus observateurs remarqueront la présence de drôles de lignes. Ce morceau de silicone est en réalité un écran avec une définition de 42 pixels par degré, relié à un mini-projecteur dans la branche, qui nous a semblé extrêmement correct lors de notre premier essai. Lorsqu’il est actif, l’écran affiche une image d’une taille équivalente à celle d’une montre connectée, sauf que cette dernière flotte devant l’œil. En pratique, l’expérience est assez bluffante : il suffit de tapoter deux fois avec son pouce et son majeur pour réveiller l’écran et voir apparaître ses notifications, un itinéraire ou la vue de l’appareil photo. Le revers de la médaille est que l’écran des Meta Ray-Ban Display, qui n’est projeté que devant un œil, n’est pas très bien géré par le cerveau. Lorsque les deux yeux sont ouverts, on perçoit une transparence étrange, qui gêne parfois la lecture. Fermer l’œil gauche améliore nettement la lisibilité, mais donne aussi l’impression d’être beaucoup plus bête. Autre conséquence de ce choix : quand on parle à quelqu’un tout en consultant l’écran, le regard dévie vers la droite, ce qui donne l’impression d’avoir la tête en l’air. Il s’agit malgré tout d’une prouesse technologique, surtout dans un produit de 69 grammes, mais il est évident que cette première génération va souffrir de défauts inévitables. À quoi sert l’écran des Meta Ray-Ban Display ? Si la proposition de Meta est encore loin de pouvoir remplacer un smartphone, elle est assurément une menace pour les montres connectées. Par défaut, l’écran est éteint. Mais quand on l’allume en tapotant avec ses doigts, les notifications apparaissent. On peut ensuite accéder à la vue des applications, pour lancer plusieurs logiciels spécialement adaptés aux lunettes : Les notifications, avec la possibilité de répondre en dictant du texte ou en le dessinant sur sa jambe. L’accès aux messages avec le support des SMS, de WhatsApp, de Messenger et d’Instagram. Une application Maps, avec un GPS qui tourne en fonction de où l’utilisateur regarde. L’appareil photo, pour voir ce que voit le capteur en temps réel. On peut zoomer en faisant tourner sa main. La galerie photo, pour accéder à toutes ses photos prises avec les lunettes sans avoir à passer par son smartphone. On peut directement les envoyer par message. L’application Instagram, pour regarder des vidéos Reels. Des interactions imagées avec l’assistant Meta AI, pour voir les réponses ou générer du contenu. Des jeux vidéo spécialement adaptées aux lunettes. Meta annonce 6 heures d’autonomie sur ses lunettes, mais il s’agit en réalité d’un « usage mixte » qui mêle une utilisation avec écran éteint et allumé. Quand l’écran émet de la lumière, il peut rester allumé pendant 1 heure. N’espérez pas utiliser le GPS des lunettes pendant des heures, la technologie n’est pas encore assez mature. Meta a au moins eu la bonne idée d’améliorer le design de sa boîte de recharge, qui peut désormais se plier pour entrer dans la poche. Elle permet de recharger les lunettes cinq fois, pour 30 heures d’usage mixte.
On a vu le futur. Pas dans une boule de cristal, mais à travers le verre épais des lunettes de Meta, les fameuses Orion encore à l'état de prototype. Bien plus que les casques comme le Vision Pro, elles représentent l'avenir de la réalité mixte... et peut-être, de l'informatique mobile toute entière. Difficile à croire ? On en reparle après la vidéo ! Sommaire 00:00 - Voyage à Londres pour Meta 00:40 - Les Meta Orion, les nouvelles lunettes de réalité augmentée 01:29 - Test des Meta Orion 02:32 - Débrief : premières impressions des Meta Orion 03:50 - Meta Orion, meilleur que l’Apple Vision Pro ? 05:27 - Le bracelet des Meta Orion 07:17 - L’interface des Meta Orion 08:51 - Les jeux vidéos en réalité augmentée des Meta Orion 10:52 - Le marché des lunettes connectées en 2025 12:35 - LE rendez-vous important L'article par ici ► https://numerama.com --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
L’engouement morbide autour de Luigi Mangione se transforme déjà en un business lucratif. L’identité du premier suspect dans le meurtre de Brian Thompson, PDG du géant américain de l’assurance UnitedHealthcare, a été révélée le 9 décembre 2024 par la presse américaine. Le visage charmant du potentiel assassin a relancé la fascination cynique du public pour les tueurs présentés comme séduisants. Les experts en renseignement open-source ont rapidement scruté la vie de Luigi Mangione, désormais accessible à tous sur les réseaux sociaux. Le compte X (anciennement Twitter) du jeune homme de 26 ans présentait une bannière montrant une image de Pokémon, ainsi qu’une radiographie de son dos, avec des broches visibles après une intervention chirurgicale. Le Pokémon en question est Chapignon, et il n’y a pas d’explication concrète sur le choix de cette photo pour l’instant. Selon les théoriciens du web, Chapignon serait le 286 Pokémon et ce nombre ferait référence au proverbe 28 : 6 de la Bible : « Mieux vaut le pauvre qui marche dans son intégrité, que l’homme pervers dans ses doubles voies, bien qu’il soit riche. » Une autre hypothèse serait que le code 286 est utilisé lors d’un appel téléphonique avec l’assurance pour comprendre pourquoi une demande de remboursement a été rejetée. L’absence d’explication n’a pas freiné l’enthousiasme autour de ce choix, puisque les peluches de Chapignon trouvent déjà leurs fans. Sur le site de vente officiel de Pokémon, la peluche est actuellement en rupture de stock. Sur eBay, plusieurs vendeurs vident leur stock de Chapignon. Une page affiche 9 ventes de peluche en l’espace de 24h. D’autres sont également en rupture de stock. Une fois l’identité de Luigi Mangione révélée, les publications sur les réseaux sociaux retraçant sa vie se sont multipliées. Instagram ainsi que la plateforme X ont suspendu les comptes du jeune homme. Ses photos de vacances, ses commentaires sur Amazon, ses choix de jeux vidéo ainsi que son train de vie ont été divulgués. On pourrait presque en tirer des enseignements sur ce qu’il convient de publier sur les réseaux sociaux. Rappelons que Luigi Mangione a été traduit en justice et est inculpé de cinq chefs d’accusation, selon une plainte pénale. Le fait divers de cette fin d’année 2024 apporte de nouveaux éléments. Luigi Mangione, inculpé le 9 décembre pour le meurtre de Brian Thompson, PDG du géant américain de l’assurance UnitedHealthcare, aurait utilisé une arme imprimée en 3D, selon la presse américaine. Ce détail est important, puisqu’il s’agirait d’une première dans l’histoire judiciaire américaine. Plusieurs agents de police ont fait état de cette information. Les forces de l’ordre ont commencé à évoquer le fait que Luigi Mangione était en possession d’un « ghost gun », un pistolet fantôme. Concrètement, il s’agit d’une arme intraçable, car elle aurait été achetée en dehors du commerce légal avec des composants séparés. Le commerce de « ghost gun » dure depuis une vingtaine d’années, mais il s’est développé sur des sites opaques depuis que des pièces ont commencé à être imprimées en 3D. Tous les éléments ne sont pas imprimés toutefois, l’acheteur doit aussi se fournir en pièces métalliques. Cependant, une fois qu’il a tout en main, il ne lui reste plus qu’à assembler une arme. Sans numéro de série et sans document, les forces de l’ordre ignoreront que la personne est en possession d’une arme, et cela évite de passer par des trafiquants. Le pistolet de Luigi Mangione s’inspire des modèles de Glock, une marque populaire chez les forces de l’ordre. Sur le réseau social Reddit, certains utilisateurs se vantent d’avoir assemblé leur pistolet avant de l’essayer au stand de tir. Plusieurs sites proposent d’imprimer directement son arme chez soi.
People visit the statues of President Kim Il Sung and Chairman Kim Jong Il on Mansu Hill on 76th Founding Anniversary of DPRK in Pyongyang. IMAGES